Le stade de France, bourré à craquer !

Posté par : SOS Éducation - M 19 février 2025 Aucun commentaire

Chère amie, Cher ami,

Nous n’avons pas été écoutés à 50 000 signataires…

… mais si 200 000 citoyens lèvent la main ensemble, le gouvernement pourra-t-il continuer d’ignorer notre alerte ?

Avec l’actualité brûlante sur le sujet, notre pétition sur la fameuse “éducation” sexuelle à l’École (EVARS) s’envole !

On vient de dépasser les 160 000 signatures, et le compteur s’affole :

En moins d’une semaine, plus de 80 000 nouvelles personnes nous ont rejoints sur cette mobilisation…

C’est plus que le stade de France, bourré à craquer !

Comment est-ce possible ?

C’est grâce à l’engagement de citoyens comme vous, inquiets ou révoltés, qui ont mobilisé leurs proches. Chaque personne avec son propre style, posé ou enflammé.

Au bout du compte, un raz-de-marée de signatures en provenance des réseaux sociaux !

Alors pour amplifier le mouvement, c’est le moment idéal d’agir vous aussi !

>> Le plus rapide : c’est de partager les publications (parmi notre sélection) qui ont déjà du succès.

>> Le plus malin : c’est de s’insérer sous les meilleurs commentaires de ces mêmes publications, en ajoutant le lien de notre pétition et en incitant à signer.

>> Le plus ambitieux : c’est d’en créer une nouvelle, à votre image.

En panne d’inspiration ?

Jetez un œil aux vidéos ci-après : faciles à créer, elles expliquent bien le problème. Faites de même sur vos réseaux sociaux…

Vous pouvez juste publier un “texte” ou une “image” basique, qui pousse vos contacts à agir avec nous, en partageant le lien de la pétition :

https://soseducation.org/petitions-mobilisations-collectives/non-education-sexualite-cadre-scolaire

Dites ce que vous avez sur le cœur dans votre message. Soyez authentique, laissez transparaître vos émotions, vous toucherez ceux qui vous lisent ou vous regardent.

Veillez à respecter ceux qui ne partagent pas notre vision. S’il vous plaît : pas d’attaque personnelle ou d’injure, pas de menace ou d’appel à la violence pour éviter de décrédibiliser la mobilisation collective.

Voici des exemples de vidéos courtes qui ont été postées sur TikTok (ça marche aussi très bien sur Facebook ou Instagram).

(Si nous sommes opposés à l’utilisation des réseaux sociaux par les enfants, il s’agit ici de mobiliser les parents qui se retrouvent sur Internet avec un objectif commun : faire entendre leur voix…)

Vous verrez que sur certaines publications, ce sont seulement des images fixes, avec ou sans voix ! Rien de bien compliqué.

Vous pouvez également partager le lien de notre pétition sous les posts qui traitent de notre sujet, comme ceux ci-dessous !

Bien sûr, vous pouvez aussi partager notre pétition sur Facebook, comme dans l’exemple ci-dessous.

Ne pensez pas au nombre de partages, de commentaires ou de “j’aime”. Vous ne contrôlez pas les algorithmes de diffusion sur les réseaux sociaux. Faites ce que vous pouvez.

Certaines publications vont s’envoler. Si chacun s’y met, c’est sûr que ça fera boule de neige !

Comment faire ?

Sur Facebook, collez le lien dans votre nouvelle publication (https://soseducation.org/petitions-mobilisations-collectives/non-education-sexualite-cadre-scolaire) pour que l’aperçu de notre page de pétition s’affiche, puis écrivez votre texte personnel (qui apparaîtra juste au dessus) !

Sur X (ex-Twitter), voici un exemple de post… Là aussi, simple et direct !

Mobilisez votre entourage ! 

Le gouvernement doit revenir en arrière, et chaque signature compte pour y parvenir !

La ministre de l’Éducation nationale a cédé face aux pressions des syndicats, mais les parents rejettent massivement l’éducation à la sexualité avant 12 ans à l’École.

Maternelle, école primaire… c’est l’évidence. Pour les ados aussi, la prudence s’impose.

La prévention et l’information sur la sexualité sont importantes. Mais l’éducation à la sexualité au collège et au lycée n’est pas adaptée aux adolescents quand elle a pour effet de provoquer l’excitation.

L’Éducation nationale n’a pas à orienter les perceptions et les choix des jeunes en leur présentant sa vision normative et institutionnelle d’une sexualité dégenrée, soit-disant positive et citoyenne, dite “inclusive”.

Alors qu’il s’agisse des enfants ou des adolescents… vous avez raison d’être inquiets, et vous n’êtes pas seuls !

Surtout avec les dernières annonces du gouvernement. Les parents sont écartés, ils ne seront informés ni du contenu, ni des dates des séances EVARS !

Alors faites passer le message à vos proches, en postant vous aussi sur les réseaux sociaux, ou bien en partageant ces publications qui ont bien circulé.

Ils doivent savoir ce qui se trame en coulisses, et réagir pour protéger les enfants !

Ensemble, TOUT devient possible…

Priorité à l’Éducation !

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