Éducation à la sexualité : notre combat est essentiel !

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Posté par : SOS Éducation - M 6 octobre 2023 19 commentaires
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Chère amie, Cher ami,

Il faut arrêter le massacre !

Chaque semaine, des parents en colère contactent SOS Éducation.

Ils nous alertent sur de graves dérives dans les écoles de leurs enfants, pendant les « cours » d’éducation à la sexualité.

Ces dernières semaines, je suis intervenue dans plusieurs médias pour rendre compte de l’important travail sur ce sujet que SOS Éducation mène avec son comité d’experts, composé de professionnels de l’enfance.

Nous alertons sur les dangers de l’éducation sexuelle, obsession de l’ancien ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye, actuellement diffusée sans cadre ni contrôle dans de nombreuses classes.

Je vous invite à découvrir 3 interventions récentes dans les médias, apportant chacune un éclairage différent, pour comprendre le phénomène en marche :

  1. Un entretien de 58 minutes sur le média indépendant Tocsin, avec des témoignages de parents ;
  2. Une interview sur Radio Courtoisie suite aux affiches émanant du partenariat entre le Planning familial et la plateforme Netflix, faisant la promotion de la série Sex Education ;
  3. Un débat musclé dans l’émission de Jean-Jacques Bourdin sur Sud Radio face à la vice-présidente du Sénat, Laurence Rossignol.

Cet entrisme du plaisir sexuel institutionnalisé dans l’environnement scolaire est incompatible avec la mission de l’École que nous défendons depuis plus de 20 ans au sein de SOS Éducation !

Première intervention : 

Tocsin, le 21 septembre 2023

J’ai été invitée par Clémence Houdiakova sur le média indépendant Tocsin, pour réagir sur le contenu des séances d’éducation à la sexualité et sur l’action que mène SOS Éducation pour faire cesser le mensonge institutionnel d’une éducation au plaisir sexuel dans l’intérêt de l’enfant.

Les contenus et les pratiques sont en opposition avec le développement de l’enfant et les principes les plus élémentaires des interdits et du consentement, concepts pourtant essentiels à acquérir !

J’étais accompagnée par Christelle Comet, vice-présidente de l’association Les Mamans Louves, avec laquelle nous menons ce combat si essentiel pour rappeler le rôle de l’école : instruire des savoirs, et s’opposer à l’entrisme idéologique.

Parmi les nombreux témoignages que nous recevons, celui des parents d’O. nous a particulièrement choqué.

Son histoire a fait l’objet de notre 4e courrier d’alerte adressé en juillet au ministre de l’Éducation nationale nouvellement nommé, Gabriel Attal.

La belle-mère d’O. a accepté d’apporter son témoignage au micro de Clémence Houdiakova.

Cette enfant, abusée très jeune par son demi-frère et déficiente intellectuellement, a été forcée par une enseignante à mettre un préservatif sur un sexe factice devant toute la classe !

Classe qu’elle ne rejoint que pour certains cours. Le reste du temps scolaire, O. est scolarisée en classe ULIS, Unité Locale d’Inclusion Scolaire.

Pour son grand malheur ce jour-là, elle a rejoint la classe pour un cours de SVT, au titre de cette fameuse « inclusion »…

O. a refusé la mise en pratique consistant à poser le préservatif sur le sexe factice… Et sa professeur l’a obligée à le faire !

Elle est belle la démonstration du concept de consentement ! Et cela ne s’est pas arrêté là, comme vous le découvrirez dans la vidéo.

Il nous est régulièrement opposé que prévenir des abus sexuels et des méfaits de la pornographie est essentiel et que ces séances servent cet objectif de prévention.

Je réponds simplement et sans détour :

  • Oui, la prévention est nécessaire ;
  • Non, des cours enseignés de cette manière ne participent pas à la prévention.

Au contraire, dans de nombreux cas qui nous ont été rapportés, ces séances consistent en réalité à une excitation et à un mécanisme de séduction entre un adulte ayant autorité, et un collectif d’enfants incapables d’appréhender ce qui leur est dit et n’étant pas autorisés à s’y soustraire.

L’objectif pédagogique de prévention revendiqué n’est pas atteint.

La réalité est que les enfants sortent des séances d’éducation à la sexualité sidérés, choqués, pour certains en état traumatique. Les contenus et images sexuels qu’ils ont vus ou écoutés sont imprimés dans leur psychisme.

D’autres se plongent dans le mutisme.

D’autres encore chercheront à imiter, et à reproduire, évidemment !

Quand les enfants racontent ce qu’ils ont retenu de ces séances, il reste seulement les éléments de nature sexuelle.

L’interdit absolu de relation intime entre un adulte et un enfant ou à l’intérieur du cercle familial n’est jamais évoqué spontanément par l’enfant !

S’agissant du consentement, mot valise, quel intérêt d’évoquer ce concept trop abstrait devant des enfants de 4, 6, 8 ou 10 ans dès lors qu’on se situe dans le cadre de l’interdit absolu ?!?

À cet âge, les enfants doivent savoir une seule chose : il n’y a pas à consentir ! À cet âge, le « toucher intime » – le « sexe », c’est INTERDIT !

Malheureusement cet interdit n’est pas ce qu’expriment les enfants choqués à l’issue de ces séances.

C’est ce dont témoigne la maman d’un garçon de CM1, qui a pris contact avec nous et a aussi accepté de témoigner sur Tocsin.

Son fils s’est retrouvé avec la classe du niveau supérieur (CM2) pour assister à ces séances au cours desquelles ont été expliqués l’érection, l’éjaculation, la masturbation, les différentes façons de faire le sexe (il n’est pas question d’amour)… Elle a récupéré son fils sous le choc.

Au micro de Clémence Houdiakova, les deux mamans ont partagé avec les auditeurs leurs témoignages effarants.

La vidéo de notre intervention a déjà été visionnée plus de 60 000 fois sur YouTube…

Dévoiler ce qui se passe dans les écoles aujourd’hui, souvent au nez et à la barbe des parents, est essentiel, même si nous ne nions pas que dans certaines écoles, les choses se passent bien !

Découvrez cet entretien dès maintenant :

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Sous l’influence de lobbies qui ont orienté des préconisations plus que douteuses de l’OMS, la prévention a malheureusement été remplacée par une éducation au plaisir sexuel, parfois dès la maternelle !

Lors de cette intervention sur Tocsin, j’ai dû rappeler des évidences :

  • L’École a un devoir d’instruction, mais n’a pas pour rôle de diffuser des idéologies. À l’École, on ne nuit pas à l’enfant !
  • Aucune donnée scientifique ne prouve que parler de sexualité, de genre ou d’orientation sexuelle à des enfants de maternelle ou de primaire, permet de les aider dans leur développement psycho-affectif, ni même dans une future acceptation de leur orientation sexuelle.
  • Au contraire, il est prouvé que parler de sexualité trop tôt à des enfants peut avoir des risques très importants à la fois sur leur développement psycho-affectif, sur leur processus identificatoire et sur leur vie intime future.

Deuxième intervention : 

Radio Courtoisie, le 26 septembre 2023

Quelques jours après mon intervention sur Tocsin, je découvre, stupéfaite, la nouvelle campagne d’affichage du Planning familial en partenariat avec la plateforme Netflix pour la série anglaise « Sex Education ».

Conflit d’intérêt sur fond de sexualisation des enfants… Cette association gavée de fonds publics, qui déverse l’idéologie du genre et fait l’apologie du plaisir à l’École, en rajoute une couche !

Comme si les enfants n’étaient pas déjà en surconsommation d’écrans et que l’addiction au visionnage de séries n’était pas en soi un enjeu de santé publique !!!

Et c’est à SOS Éducation que les administrations françaises lancent des contrôles et des empêchements à agir d’une ampleur inouïe. Il y a vraiment de quoi en perdre le moral !!!

J’ai fait connaître notre façon de penser sur l’impunité de cette association dont la mission sociale est ouvertement bafouée, avec affichage public, sans que personne n’ose dire quoi que ce soit.

Après l’affiche présentant un homme enceint et le lexique trans rempli de termes « à ne pas utiliser », parmi lesquels : « mâle » ; « femelle » ; « masculin » ; « féminin »… Le Planning familial nage dans le grand bain de l’idéologie woke sans jamais être ennuyé ! Il pourrait aisément concourir aux prochains JO !

Le problème ? Cette association intervient dans les classes, soi-disant pour faire la prévention des maladies sexuellement transmissibles et des risques de grossesse… Mais la réalité est bien différente. Et bien sûr, il n’y a aucun contrôle sur les « enseignements » qu’elle dispense !

J’analyse sur Radio Courtoisie cette campagne qui est en soi un scandale, autour de la série Netflix Sex Education, mais qui « passe crème » dans l’ambiance générale de sexualité déversée dans l’espace public :

Affiche de Netflix et du Planning familial : 

C’est de la manipulation de masse !

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Pour compléter ce triste tableau de la sexualité institutionnalisée dans l’espace public avec les fonds du contribuable, rappelons cette campagne de Santé Publique France qui date de quelques mois seulement, placardée sur les abribus, où nos chérubins patientent chaque jour sur le chemin de l’école :

Troisième intervention : 

Sud Radio, le 29 septembre 2023

Pour finir, j’ai été invitée vendredi dernier sur Sud Radio au micro de Jean-Jacques Bourdin.

Au départ, il devait s’agir d’une confrontation avec le Planning familial.

J’ai accepté de relever le défi.

Finalement, du côté du Planning familial, ils n’étaient pas disponibles

C’est donc face à la sénatrice Laurence Rossignol qu’un débat musclé s’est tenu.

Débat au cours duquel Jean-Jacques Bourdin s’est montré particulièrement odieux, et malhonnête intellectuellement.

Laurence Rossignol est une personnalité politique connue pour ses positions idéologiques particulièrement provocatrices, comme par exemple sa formule « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ! »  pour justifier de la diffusion de l’idéologie du genre et de l’éducation sexuelle à l’École.

Lors de ce débat animé, j’ai pu rappeler à nouveau que :

  • Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants, et ce sont eux qui ont le premier rôle à jouer dans le cadre de l’éducation à la sexualité.
  • L’école n’intervient qu’en complément, et non pas en remplacement des parents.
  • L’école a un devoir de prévention, mais doit veiller à ne pas faire effraction dans la sphère intime de l’enfant et à garder ses distances avec les questions de sexualité.

Vous risquez d’être surpris en visionnant cette vidéo : alors que SOS Éducation reçoit de nombreux témoignages choquants de parents, qui ont donné lieu à 4 courriers d’alertes concernant à chaque fois des centaines et des centaines d’enfants, Jean-Jacques Bourdin et Laurence Rossignol font mine de ne pas comprendre.

Pire, Laurence Rossignol a osé me dire « C’est vos fantasmes. ».

Manifestement, ces gens ne savent pas ce qui se passe réellement sur le terrain dans les écoles, ou pire, ils se fichent royalement des conséquences que ces dérives peuvent avoir sur les enfants.

Certaines interventions sont plus éprouvantes que d’autres, ce fut le cas pour cette séance sur Sud radio.

En réalité, on y apprend toujours quelque chose, surtout quand vos opposants font preuve de malhonnêteté intellectuelle manifeste.

Cela oblige à être encore plus factuel et encore plus rigoureux.

Éducation sexuelle à l’École : 

comment s’y prendre ?

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Lorsque vous aurez visionné mes interventions, n’hésitez pas à me donner votre avis en laissant simplement un commentaire ci-dessous !

Vos retours et vos suggestions nous permettent d’enrichir notre dossier sur l’éducation à la sexualité, et de porter votre voix.

Priorité à l’éducation !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : Agissez avec nous pour protéger les enfants !

L’éducation à la sexualité consomme du temps scolaire, au détriment d’autres apprentissages, ce qui n’est pas acceptable quand un élève sur deux entre en 6e sans savoir lire

Mais surtout, elle est réalisée par des personnes qui n’ont pas la formation nécessaire pour assurer la mission de prévention et le cas échéant accueillir la parole d’un enfant victime.

La mise en abîme du système de santé scolaire : absence de médecins, d’infirmières, de psychologues… fait que cet « enseignement », réalisé sans cadre et sans espace de dialogue sous la direction de professionnels de la santé, constitue une mise en risque pour l’enfant.

Actuellement l’éducation à la sexualité diffuse l’idéologie du genre comme un savoir en la présentant comme une théorie, ce qu’elle n’est pas.

Diffuser des idéologies n’est pas le rôle de l’École, dont la mission est d’instruire des connaissances approuvées par la science.

Pour agir avec nous, le plus efficace, c’est de faire un don à SOS Éducation !

C’est grâce aux dons de citoyens engagés que l’Association peut exister, et agir dans l’intérêt supérieur de tous les enfants.

Si vous le pouvez, préférez le don mensuel, pour nous soutenir dans la durée.

Les enfants ont besoin de vous.

 

P.P.S : Retrouvez nos courriers d’alerte au ministre de l’Éducation nationale et au président du Conseil Supérieur des Programmes sur la page suivante :

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19 commentaires

  • Morand Victoria

    Quel est le programme scolaire ?
    N est il pas demandé d expliquer le corps humain, tout simplement ?
    N y a t il pas une dérive de la part du personnel enseignant, une mauvaise interprétation de ce qu il leur ai demandé d expliquer, sans rentrer dans les détails ?

  • Buzin

    Ancienne Infirmière de l’EN( je suis retraitée depuis quelques mois) je confirme que l’ES tourne parfois à l’obsession. J’ai toujours réussi à faire intervenir des personnes rigoureuses ( et surtout pas le planning familial), je me suis formée ( DU dans une fac que je ne nommerai pas car avec du recul , les théories de Butler sont omni présentes..)
    Mais j’étais infirmière dans un lycée, et l’abord avec de grands ados est essentiel.
    J’ai toujours fortement insisté sur le consentement, que le NON il faut l’entendre même au dernier moment.
    A cet âge là, le sexe est un peu une obsession, et quoique vous en disiez, on n’en parle pas ou rarement à la maison . Les jeunes ados sont biberonnés à youporn.. Alors, les dernières interventions que j’avais demandées étaient ciblées sur la pornographie, la prostitution des jeunes, la cyber sexualité, et toujours le consentement, ce sujet notamment à partir d’un film, «  un fils »
    Le problème principal est que personne n’est formé, même les infirmières. Elles peuvent délivrer une information sur la contraception et les IST mais sinon c’est le grand vide.
    D’où probablement certaines dérives.
    On ne montre pas un préservatif en primaire.. c’est plutôt réservé aux14/15 ans . Et il faut toujours être respectueux de l’élève, chaque enfant n’a pas la même évolution.

  • BUSTARRET

    La sexualité n’éxiste pas chez les enfants naturellement laissez leur cette candeur qu’ils perdront bien trop tôt.

  • Clémence

    Mais quelle honte de vous recevoir de cette manière et de nier autant les choses… nos enfants ne sont plus en sécurité selon moi à l’école Française… c’est bien dommage. Mais que faire, puisque même les hautes sphères prennent ça à la légère…

    En tous les cas, bravo à vous Madame, de défendre nos enfants et tout ce qui les entourent… bravo ! Et merci

  • Romeyer Dherbey Paule

    Cette effraction des pseudo enseignants de la sexualité trop précoce des enfants est une attitude totalitaire Il Faudrait plustôt aider les parents à le faire et non laisser cela à l ‘école Les enfants sont confrontés trop précocement à cause des pub et des films à la sexualité adulte EN fait ces soi disant bonnes intentions pédagogiques masquent le totalitarisme de certains groupes de pression
    Résultat: une montée effrayante du déséquilibre chez les enfants et adolescentsqui feront des adultes violents

  • daroca

    bonjour
    merci pour votre courage et votre engagement pour le bien de tout les enfants .
    non a toutes les dérives de tout ceux qui polluent notre esprit d immondices.
    bravo a vous mme.

  • FrançoiseH

    La fin de l’interview est judicieuse et c’est cette voie-là qu’il faudrait emprunter : donner aux parents le moyen de parler à leurs enfants de sexe, avec pudeur mais avec vérité, en leur donnant des documents ad-hoc ou en leur diffusant des cours. L’éducation nationale est incapable de parler d’amour ; les parents (la plupart) sont mieux placés pour en parler.

  • Antoine

    Bonjour
    Très intéressant. Vous avez bien fait d’insister sur le fait que loi et circulaire 2002 2003 sont mal appliquées et que les autorités n’en ont pas conscience, ou s’en préoccupent peu. Ça désarmé vos adversaires qui cherchent à vous pousser dans des positions faciles à ringardiser. Il aurait peut être été utile de pousser LR dans ses retranchements au sujet des témoignages des parents qu’elle qualifie de fantasme.

  • Jean

    Bravo Mme Audugé vous avez été parfaite dans ces 3 interventions!Un grand merci de défendre les enfants face à ces horreurs imposées.Tout cela m’angoisse beaucoup pour mes enfants c’est très dur de se battre sur nous les fronts pour les protéger mais je ne lâcherai rien.Un grand merci à toute l’équipe

  • Gael

    Très belle intervention Madame. Bravo et merci. Je suis en total accord avec votre bon sens.

  • CANDAU

    le visage de la macronie dans toute sa splendeur , Bravo à vous , les collectifs parents en colère. c’est un braquage psychique comme le dit la plupart des spécialistes de l’enfance. il ne suffit que d’une fois, la charte de l’OMS ,l’ONU sont des standardisation de la pédophilie . Ce gouvernement sont des psychopathes qui détruisent tout et les enfant sont une cible prioritaire de ces malades !!! Pauvre France sous macron et sa clique de politiciens déconnectés de la vie . Courrier envoyé à l »école , la plainte sera déposé si jamais il ne respecte pas l’autorité parentale au-dessus de l’école. la republique ne sera jamais l’autorité parentale !!!!

  • Schoeny Cindy

    Merci pour votre travail titanesque sur le sujet ! Etant donné que la majorité des agressions sexuelles sont commises dans le cercle familiale il est important de faire des cours de prévention pour protéger les enfants mais en aucun cas de préparer les enfants à la vie sexuelle. Chacun se prépare à son propre rythme, il est inadmissible que des adultes fassent effraction dans la sphère intime des enfants.

  • Chamayou

    Bravo pour vos actions , continuez vos débats qui ne pourront qu’éclairer sur le sujet les méthodes et les dérives de nos gouvernants et d’un certain personnel enseignant.
    Commentaires d’un grand père retraité.

  • Daniel De Troch

    Bonjour,
    Je viens d’entendre ce Bourdin et ses propos agressifs et complètement hors sujet. J’ai écouté votre entretien chez Tocsin Media. Je suis absolument scandalisé. Je suis un spécialiste de l’enfance, j’en ai rencontré plusieurs centaines de tous les âges. J’ai entendu la maman de « O » dire que sa fille ne voulait pas que ses parents portent plainte parce que cela lui faisait peur. Je pense qu’il faudrait revenir sur le sujet dans quelques jours quand cette jeune fille sera sortie de son état de choc. Si je peux me permettre un conseil, ses parents devraient consulter un avocat. Je pense à Maître Carlos Alberto Brusa qui à Paris défend les victimes du faux vaccin Pfizer et qui est tout à fait remarquable mais il n’est pas le seul à l’être. Je ne suis pas juriste mais de mon point de vue de « psy » je ne vois qu’un remède pour aider cette jeune fille. Qu’elle soit présente à l’audience au cours de laquelle le juge du tribunal correctionnel devant lequel cette personne qui par son comportement indigne a fait subir à cette adolescente ce qui équivaut à un second viol aura été déférée, et qu’elle l’entende la condamner à une lourde peine de prison pour lui avoir infligé de manière volontaire et en pleine connaissance de cause un tort considérable dont il est impossible pour le moment d’évaluer les conséquences à long terme. Il n’y a que l’humiliation qui puisse répondre efficacement à un tel outrage. Il faut évidemment que ses parents soient là avec elle et que le juge les autorise à lui donner les explications nécessaires, au besoin en s’adressant directement à elle pour lui dire ce qu’il en pense. J’ai l’intention de relater les faits dans un ouvrage en cours de publication et qui concerne la maltraitance des enfants en y joignant une petite annexe. J’aurais voulu en parler aux « mamans louves » mais il est impossible de leur envoyer un message.

  • Malika

    Bonjour,

    Mon enfant de 8 ans a visionné dans sa classe le film « la guerre du feu » dans le cadre d’un cours sur la préhistoire. Film violent interdit aux moins de 13 ans avec une accumulation de scènes sanglantes, du cannibalisme, de la nudité et des scènes de rapports sexuels et de viol.
    Je suis choquée, et mon enfant est vulnérable étant TSA. Aucune information n’a été transmise aux parents. Ils ont également visionné Tomboy mais j’ai pu être avertie par mon fils avant car le visionnage était prévu pour l’après midi, j’ai donc gardé mon fils à la maison ce qui m’a valut un signalement à l’inspection.
    Si vous pouvez intervenir répondez à ce commentaire. Je vais tenter une action en commençant par informer les parents car personne n’a réagi, puis intervenir légalement car il n’a pas respecté l’âge minimum légal du film « la guerre du feu ».
    Voila souhaitez moi bonne chance.

    Je me prépare