Transmania, le livre événement contre l’idéologie du genre !

Posté par : SOS Éducation - M 16 mai 2024 4 commentaires

Chère amie, Cher ami,

Vous avez sûrement entendu parler de Transmania, le livre événement des féministes Dora Moutot et Marguerite Stern ?

Ce livre jette un pavé dans la mare !

Il explique :

  • les dérives de l’idéologie transgenre ;
  • les conséquences en matière d’effacement de la femme ;
  • la rupture d’égalité dans les compétitions sportives féminines ;
  • et bien sûr, la réalité des traitements de changement de genre administrés aux enfants.

Loin du tableau idyllique qui est présenté par les transactivistes, l’ouvrage dénonce, avec force et un brin de cynisme, la puissance du militantisme politique qui nie la réalité du sexe biologique.

Cliquez sur l’image pour découvrir la présentation du livre sur le site de l’éditeur

Les deux auteurs ont mené une enquête fouillée, malgré les pressions invraisemblables auxquelles elles ont dû faire face pendant des années.

Et leur livre a défrayé la chronique dès sa sortie : plainte pour « transphobie », menaces de mort contre Dora Moutot et Marguerite Stern…

La ville de Paris a même fait interdire la campagne d’affichage présentant le livre, et Lyon a suivi (retrouvez ici l’article de Lyon Capitale qui en parle) !

Évidemment, le livre Transmania n’a rien de « transphobe » : il alerte sur les risques de l’idéologie du genre pour les femmes, pour la société et pour les enfants face au militantisme fait dans les écoles, dès la maternelle.

Ce livre est sérieux et courageux.

Du courage, il en faut, car comme l’écrivent les auteurs « tout incrédule évoquant la binarité des sexes est traîné dans la boue » !

Voilà où nous en sommes aujourd’hui.

L’idéologie du genre s’infiltre dans toutes les sphères de la société, niant la réalité du sexe biologique et les risques des transitions chez les jeunes.

Il est urgent d’agir pour protéger les enfants !

Vous le savez, SOS Éducation est en première ligne sur ce combat contre l’idéologie du genre.

Nous avons été les premiers à alerter sur la circulaire signée par Jean-Michel Blanquer le 29 septembre 2021, institutionnalisant l’autodétermination du genre ressenti à l’École dès la maternelle.

Et tout récemment, le Sénat a publié un rapport et une proposition de loi pour protéger les jeunes, qui font suite au travail important que nous avons engagé avec les sénateurs (je vous invite à retrouver les liens vers les publications du Sénat au bas de ce message) !

Le 23 avril dernier, j’ai pu présenter à la télévision notre travail sur la question transgenre chez les jeunes et notre analyse du livre Transmania, entre autres sujets d’actualité.

Une intervention courte et sans langue de bois, au micro de Sonia Mabrouk sur CNews, que vous pouvez découvrir ci dessous :

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Lorsque vous aurez visionné mon intervention, n’hésitez pas à me faire part de vos remarques !

Retrouvez aussi les résultats de nos travaux avec le Sénat :

La synthèse de notre audition au Sénat

Le 5 juillet 2023, nous avons été reçus au Sénat pour présenter l’analyse que nous avons produite sur la transidentité.

Le contenu de notre audition a été repris mot pour mot dans la partie sur l’École du rapport final publié par les sénateurs !

Découvrez la synthèse de notre audition, avec les illustrations (que vous n’aurez pas dans la version du Sénat) :

Le rapport du Sénat sur la transidentification des mineurs

Accédez au rapport complet du Sénat, publié le 20 mars 2024, et retrouvez en pages 239 à 249 la synthèse de notre audition (sans les visuels).

Vous pourrez aussi découvrir 2 exemples concrets d’un parent et d’un enseignant qui ont contacté SOS Éducation lorsqu’ils ont été confrontés aux risques bien réels de l’idéologie transgenre dans l’École.

La proposition de loi formulée par les sénateurs

Les sénateurs ont aussi publié une proposition de loi « visant à encadrer les pratiques médicales mises en œuvre dans la prise en charge des mineurs en questionnement de genre ».

En d’autres termes, il s’agit de protéger les mineurs de traitements expérimentaux et dangereux.

C’est une grande avancée, et nous espérons que cette proposition de loi qui va dans le sens de l’intérêt supérieur des enfants sera adoptée !

N’hésitez pas à contacter votre sénateur pour lui demander de soutenir cette proposition de loi.

Priorité à l’Éducation !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : Notre combat pour protéger les enfants nous mobilise énormément, et si nous voulons le poursuivre jusqu’au bout, il est clair que nous allons manquer de moyens.

Nous devons organiser des évènements, conférences de presse, colloques… Publier des documents de synthèse…

Participer à des réunions avec les parlementaires…

Aujourd’hui SOS Éducation n’a plus les ressources nécessaires.

Alors, si comme nous, vous pensez que ce combat est essentiel, aidez-nous par un don que nous dédierons à cette action contre l’idéologie du genre à l’École, pour alerter sur ce qui se passe actuellement et éviter un scandale sanitaire sans précédent sur des enfants.

Pour agir avec nous, c’est simple et rapide : rendez-vous sur notre page de dons sécurisée, et confirmez votre don en quelques clics.

Merci pour votre soutien !

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4 commentaires

  • kanopus

    Un complément à vos excellentes analyses et travail :
    l’ouvrage de Valérie Bugault – La véritable alternative au Grand Reset –
    vous apportera sans aucun doute une analyse approfondie sur de mortifères
    réalités sous-jacentes…

  • Testu-Dupaix

    Bonjour Madame, Monsieur,
    Merci pour nos enfants.
    Défendez en notre nom, nous parents et grands-parents, l’instruction essentielle en primaire (lire,écrire,compter,réfléchir) hors ces idées d’associations idéologues qui déstabilisent et perturbent nos jeunes enfants.
    Comme le dit votre slogan:
    «  A l’école enseignez-moi les divisions pas l’éjaculation….. »
    « je suis une enfant laissez-moi grandir »….
    Sincères salutations

  • Fabrice

    Bonjour,
    Tout d’abord, je tiens à préciser que votre sujet est très bien documenté et très intéressant. Je suis animateur culturel et je travaille avec des enfants de 6 à 11 ans surtout, je fais des activités artistiques avec ces jeunes, car je suis moi-même artiste et j’ai voulu lier ma passion et mon métier.
    Je ne suis contre la transidentité, parce que chaque personne a le choix d’être qui il veut, et si elle se sent mal dans la peau d’un homme, elle a tout à fait le droit de changer de sexe et vice versa. Ce qui me pose un problème, c’est qu’on incite trop les jeunes à devenir ce qu’ils ne doivent pas être. Un enfant doit trouver son identité tout seul et doit être prêt à le faire, beaucoup d’enfant ont des problèmes d’identité, car ils ne se retrouvent pas dans cette société et s’affirment de certaines façons, comme les crises d’adolescence ou la violence, mais il faut leur laisser chercher leur sexualité.
    J’ai eu moi-même du mal à trouver ma sexualité étant jeune, parce que j’ai été un enfant maltraité et à cause d’un viol à l’âge de huit ans et de mon bourreau de beau-père, je jouais aussi bien l’hétéro que l’homo, j’étais bisexuel, maintenant, j’ai trouvé ma place et je m’exprime comme je suis et ça ne me pose pas de problème. En ce qui concerne la transsexualité des enfants, on devrait d’abord faire un travail de fond et seulement prendre une décision à leur majorité, car un enfant de 6 à 17 ans, doit se former, apprendre et savoir ce qui est bon pour lui ou pas, et faire des traitements pour bloquer la sexualité peut avoir des répercussions très grave, donc attendre que la puberté soit finie pour agir, mais dans l’intérêt des enfants, non pas dans l’intérêt des adultes, c’est à l’enfant de choisir ce qu’il veut et non pas l’adulte de choisir à sa place. Je sais qu’il y a des exceptions à la règle et des enfants plus précoces que d’autres et il faut en tenir compte. Sachez qu’un enfant peut regretter sa décision plus tard, et ça peut être pire pour lui, car il va être malheureux, déprimer, se suicider, voir se droguer ou autres… D’où le travail de fond avant d’agir avec des personnes compétentes et de prendre une décision à sa majorité seulement.