Cliquez sur l’image pour découvrir la présentation du livre sur le site de l’éditeur
Les deux auteurs ont mené une enquête fouillée, malgré les pressions invraisemblables auxquelles elles ont dû faire face pendant des années.
Et leur livre a défrayé la chronique dès sa sortie : plainte pour « transphobie », menaces de mort contre Dora Moutot et Marguerite Stern…
La ville de Paris a même fait interdire la campagne d’affichage présentant le livre, et Lyon a suivi (retrouvez ici l’article de Lyon Capitale qui en parle) !
Évidemment, le livre Transmania n’a rien de « transphobe » : il alerte sur les risques de l’idéologie du genre pour les femmes, pour la société et pour les enfants face au militantisme fait dans les écoles, dès la maternelle.
Ce livre est sérieux et courageux.
Du courage, il en faut, car comme l’écrivent les auteurs « tout incrédule évoquant la binarité des sexes est traîné dans la boue » !
Voilà où nous en sommes aujourd’hui.
L’idéologie du genre s’infiltre dans toutes les sphères de la société, niant la réalité du sexe biologique et les risques des transitions chez les jeunes.
Il est urgent d’agir pour protéger les enfants !
Vous le savez, SOS Éducation est en première ligne sur ce combat contre l’idéologie du genre.
Nous avons été les premiers à alerter sur la circulaire signée par Jean-Michel Blanquer le 29 septembre 2021, institutionnalisant l’autodétermination du genre ressenti à l’École dès la maternelle.
Et tout récemment, le Sénat a publié un rapport et une proposition de loi pour protéger les jeunes, qui font suite au travail important que nous avons engagé avec les sénateurs (je vous invite à retrouver les liens vers les publications du Sénat au bas de ce message) !
Le 23 avril dernier, j’ai pu présenter à la télévision notre travail sur la question transgenre chez les jeunes et notre analyse du livre Transmania, entre autres sujets d’actualité.
Une intervention courte et sans langue de bois, au micro de Sonia Mabrouk sur CNews, que vous pouvez découvrir ci dessous :
Un complément à vos excellentes analyses et travail :
l’ouvrage de Valérie Bugault – La véritable alternative au Grand Reset –
vous apportera sans aucun doute une analyse approfondie sur de mortifères
réalités sous-jacentes…
Bonjour Madame, Monsieur,
Merci pour nos enfants.
Défendez en notre nom, nous parents et grands-parents, l’instruction essentielle en primaire (lire,écrire,compter,réfléchir) hors ces idées d’associations idéologues qui déstabilisent et perturbent nos jeunes enfants.
Comme le dit votre slogan:
« A l’école enseignez-moi les divisions pas l’éjaculation….. »
« je suis une enfant laissez-moi grandir »….
Sincères salutations
Bonjour,
Tout d’abord, je tiens à préciser que votre sujet est très bien documenté et très intéressant. Je suis animateur culturel et je travaille avec des enfants de 6 à 11 ans surtout, je fais des activités artistiques avec ces jeunes, car je suis moi-même artiste et j’ai voulu lier ma passion et mon métier.
Je ne suis contre la transidentité, parce que chaque personne a le choix d’être qui il veut, et si elle se sent mal dans la peau d’un homme, elle a tout à fait le droit de changer de sexe et vice versa. Ce qui me pose un problème, c’est qu’on incite trop les jeunes à devenir ce qu’ils ne doivent pas être. Un enfant doit trouver son identité tout seul et doit être prêt à le faire, beaucoup d’enfant ont des problèmes d’identité, car ils ne se retrouvent pas dans cette société et s’affirment de certaines façons, comme les crises d’adolescence ou la violence, mais il faut leur laisser chercher leur sexualité.
J’ai eu moi-même du mal à trouver ma sexualité étant jeune, parce que j’ai été un enfant maltraité et à cause d’un viol à l’âge de huit ans et de mon bourreau de beau-père, je jouais aussi bien l’hétéro que l’homo, j’étais bisexuel, maintenant, j’ai trouvé ma place et je m’exprime comme je suis et ça ne me pose pas de problème. En ce qui concerne la transsexualité des enfants, on devrait d’abord faire un travail de fond et seulement prendre une décision à leur majorité, car un enfant de 6 à 17 ans, doit se former, apprendre et savoir ce qui est bon pour lui ou pas, et faire des traitements pour bloquer la sexualité peut avoir des répercussions très grave, donc attendre que la puberté soit finie pour agir, mais dans l’intérêt des enfants, non pas dans l’intérêt des adultes, c’est à l’enfant de choisir ce qu’il veut et non pas l’adulte de choisir à sa place. Je sais qu’il y a des exceptions à la règle et des enfants plus précoces que d’autres et il faut en tenir compte. Sachez qu’un enfant peut regretter sa décision plus tard, et ça peut être pire pour lui, car il va être malheureux, déprimer, se suicider, voir se droguer ou autres… D’où le travail de fond avant d’agir avec des personnes compétentes et de prendre une décision à sa majorité seulement.
Je trouve votre commentaire très pertinent et je pense qu’il à toute sa place dans ce débat. Merci