P.S. : Nous poursuivons notre travail de fond pour produire des analyses de qualité sur les sujets éducatifs, et nous sommes régulièrement invités dans les médias pour partager les résultats de nos travaux.
Nous portons votre voix sur les sujets clés, car vous faites partie des citoyens engagés qui se battent à nos côtés pour sauver l’École.
Sur les 3 dernières années, vous êtes plus de 125 000 à avoir signé une de nos pétitions, à avoir participé à une consultation sur un enjeu éducatif important, à avoir apporté votre soutien financier à SOS Éducation…
Ensemble, nous poussons les mesures de bon sens pour une instruction de qualité… Et ça ne plaît pas à tout le monde !
SOS Éducation n’a jamais touché un centime d’euro de fonds publics, ce qui nous permet de garder une parole totalement libre. C’est évident, cela énerve.
Chaque jour depuis 20 ans, nous avons alerté sur le déclin à venir de notre système éducatif, et proposé des mesures concrètes pour l’École.
Les gouvernements successifs sont restés immobiles.
Aujourd’hui, quand on voit le résultat, on comprend pourquoi le pouvoir en place cherche à nous faire taire !
Si nos actions dérangent, c’est parce que nous avons raison, et que nous appuyons là où ça fait mal.
Chez SOS Éducation, nous ne sommes pas là pour compter les points, mais pour faire bouger les lignes afin que la situation s’améliore.
Notre force : une analyse pertinente et des solutions simples mais efficaces.
Et malgré les attaques dirigées contre nous, nous sommes déterminés : nous allons continuer à agir chaque jour pour sauver l’École.
Les enfants ont besoin de nous, c’est notre devoir d’adultes de les protéger et de faire respecter leur droit à l’instruction.
Si vous souhaitez nous aider à poursuivre cette mission, dans l’intérêt supérieur des enfants et de la société… Rejoignez les donateurs de l’Association !
Remarquable ! Merci beaucoup pour votre engagement !
Dur à suivre pour des malentendants, compte tenu du débit de paroles. Désolé.
Il y a un projet évident, à mon sens, de faire des enfants de futurs « citoyens « dociles et obéissants car il ne s’agit plus d’enseignement mais de formatage des élèves pour qu’ils soient adaptés à la société que souhaite monsieur K.Schwab, société qu’il a clairement décrite lors du dernier G20 auquel il a participé. Auparavant (mais je ne saurais dater), les questions de scolarité étaient gérées par le Ministère de l’Instruction Publique. Le choix de passer de « instruction » à « éducation » est pour moi très révélateur, l’éducation des enfants étant l’apanage des parents et non pas de l’Etat. Le combat que mène SOSéducation est d’une importance vitale.
Chère Madame Orain-Gendrot, merci pour votre retour ! Pour information, le Ministère de l’Instruction publique prend le nom de Ministère de l’Éducation nationale le 3 juin 1932 au moment de la formation du troisième cabinet Herriot. Vous êtes de plus en plus nombreux à nous témoigner votre soutien et cela nous touche beaucoup !
Bonsoir Sophie,
tout d’abord MERCI pour votre courage et votre ténacité, et pour la clarté de vos propos! Je suis d’accord avec tout!
Un petit commentaire :
– Concernant le mot « méritocratie »: enseignante spécialisée en ulis école, je crois que nous sommes tout à fait d’accord sur la place de l’enfant porteur de handicap dans l’école (j’ai déjà envoyé à SOS éducation des avis à ce sujet). Mais c’est le mot qui me gêne :je crains que le « tout venant » n’entende dans ce mot, la « remise de médailles » à l’enfant qui a des facilités naturelles et travaille ,finalement, bien moins que l’enfant qui a des troubles ou un environnement moins porteur….Nos écoles doivent instruire, mais aussi elles doivent se donner les moyens d’accompagner ou orienter tous les enfants qui ont besoin d’aide , et leur permettre de développer leurs compétences, même si elles ne sont pas intellectuelles.
– Concernant les écoles privées « hors contrat » : elles fleurissent partout, et il serait temps que l’Education Nationale se demande pourquoi….
Je comprends ces créations d’école, et les demandes des familles inquiètes, mais toutes ces familles fuient le système, leurs enfants (qui seront les adultes solides de demain, je l’espère), sont dans une bulle , et je comprends qu’ils cherchent une bulle protectrice…Ma crainte est l’édification à terme d’une société française en 3 castes: ceux « élevés » (mot non approprié!!! ) par l’école publique, et qui seront pour la plupart natifs de l’étranger, ceux élevés par l’école privée sous contrat d’association (dont mon école fait partie), (familles qui fuient le milieu social de l’école publique, et qui croient encore à l’école privée), et ceux élevés en école hors contrat …La ségrégation serait flagrante , voire dangereuse…J’aurais aimé que le Secrétariat de l’Enseignement catholique « garde » ces familles, et ses professeurs , comme « levain dans la pâte »…J’ai vu plusieurs inspecteurs de l’enseignement public venir chercher des innovations pédagogiques, et des conseils auprès de notre enseignement privé sous contrat. Il y avait de quoi s’entendre…
-je vous souhaite l’aboutissement de vos combats , et priorité à nos enfants !
(Oui, nous ne devons pas les traiter comme des mini-adultes, mais leur redonner la confiance en des adultes responsables, qui leur permettent de grandir en sérénité, et dans l’enthousiasme de …..devenir adulte un jour!)
Joëlle Maillard