Chère amie, Cher ami,
Les lobbies transactivistes ont infiltré l’École et menacent la santé physique et mentale des élèves.
Ils ont réussi le tour de force de faire publier par le ministre de l’Éducation nationale une circulaire qui prend fait et cause pour la théorie du genre ressenti.
Cette circulaire est une violation sans précédent du sanctuaire que devrait être l’École de la République, impénétrable aux idéologies, aux croyances, aux politiques.
Il est scandaleux que le ministre ouvre la porte de l’institution scolaire à l’idéologie d’un genre ressenti qui supplante le fait biologique du sexe naturel. Il soumet les jeunes générations aux influences des lobbies communautaires qui cherchent à les convertir.
Les victimes en seront évidemment nos enfants, sensibles aux arguments d’un « bonheur garanti », à un moment de leur vie où le bouleversement identitaire de la puberté remet en cause parfois durement l’image qu’ils ont d’eux-mêmes, et celle que leur renvoient les réseaux sociaux et plus largement la société.
Les systèmes d’influence auxquels sont soumis les jeunes aujourd’hui sont d’une puissance effarante, à tel point qu’il est de plus en plus difficile d’en appeler à la raison et aux faits scientifiques.
La situation du changement de genre chez les enfants est pourtant désormais connue :
- Les pays qui ont pratiqué la transition de genre chez les enfants font machine arrière.
- De nombreux jeunes sous influence qui ont transitionné sont des « regretteurs » dont la vie est brisée.
- Les traitements pédiatriques de changement de sexe sont expérimentaux et n’ont pas été approuvés pour une utilisation sur les enfants.
Les données disponibles conduisent à une conclusion : LA PRUDENCE !!!
C’est pourquoi Jean-Michel Blanquer doit retirer sa circulaire immédiatement.
Ne laissons pas nos enfants être les cibles des mouvements idéologiques qui veulent imposer une vision transhumaniste de notre société.
Il faut à tout prix faire annuler cette circulaire et prendre en compte la souffrance véritable de ces enfants qui ont besoin d’une aide appropriée, mais pas nécessairement de changer de sexe !
Et surtout il est urgent de s’attaquer aux vrais problèmes : les désastres des réseaux sociaux et du cyberharcèlement sur la santé mentale de nos enfants.
C’est pourquoi SOS Éducation lance aujourd’hui une pétition contre cette circulaire.
Signez-la en cliquant ici ou sur le bouton ci-dessous :