Mauvais genre : le message de Sophie Robert

Chers sympathisants, Chers donateurs,

La campagne de financement participatif réalisée avec SOS Éducation pour mon deuxième documentaire dédié aux ravages de l’idéologie transgenre, « Mauvais genre – chapitre 2 : un scandale sanitaire », a permis de récolter 6 951,50 euros à ce jour.

Je voudrais tout d’abord vous faire part de mon infinie gratitude. Vos dons vont me permettre d’aborder la phase finale du montage de ce long métrage avec beaucoup plus de sérénité.

Ils vont notamment me permettre de faire appel à un chef monteur, en charge des images, du son et des effets spéciaux, et de toutes les finitions nécessaires pour réaliser un bon film, percutant, pour porter son message au sein des familles. Et contribuer à ramener la France au réel et à la raison !

J’ai l’habitude de travailler sur des sujets controversés, complexes, qui ont pour effet d’engager des effets sociaux importants. Il faut combattre l’idéologie du genre ressenti, dans l’intérêt des personnes vulnérables qui en sont la cible. Et réussir à toucher le cœur du grand public sur ce sujet, c’est ma récompense à moi.

Mais depuis que je me suis engagée il y a 3 ans dans la compréhension de cette idéologie de la transidentité, pour dénoncer la machine à mutiler des enfants « paumés » qui engendre le chaos social et familial, je fais face à une levée de boucliers inédite, une adversité d’une ampleur stupéfiante, d’autant qu’elle vient d’en haut, de certaines institutions elles-mêmes.

La conséquence, c’est la censure de la liberté d’expression. Et lorsqu’on décide de passer outre et d’aller de l’avant malgré les risques, il faut faire face à une contrainte économique qui vous met à genoux. Tout est fait pour que vous ne puissiez plus agir.

Heureusement, il existe une chaîne de bon sens. Grâce à votre main tendue, je vais pouvoir continuer mon travail et fournir à la société ce film, gratuit, indispensable pour faire avancer le débat, et protéger les enfants.

En particulier les enfants frappés d’un handicap cognitif, les enfants en dépression, les enfants ayant subi des sévices sexuels, tous ces enfants que la société et les réseaux sociaux essayent de soumettre à des stéréotypes du genre dépassés, et dans lesquels ils se voient comme « non conformes ».

Nous devons collectivement protéger ces enfants d’une machine à mutiler les corps, qui broie les familles protectrices pour mieux s’approprier les enfants vulnérables.

Nous devons rappeler à tous qu’il y a mille manières d’habiter son corps de fille et de garçon, et qu’après la puberté, la maturité aidant, nous avons pour 99,99 % d’entre nous trouvé le chemin, appris à nous connaître nous-mêmes, et pu tracer notre propre voie.

Je souhaite vraiment transmettre un immense merci à Sylvain Marbach, Sophie Audugé, et à l’équipe de SOS Éducation, de m’avoir ouvert la porte et permis de m’adresser à vous, sympathisants engagés de l’Association.

Avec toute ma gratitude,

Sophie Robert
Ninsun Project
Réalisatrice des films « Mauvais genre »

Vous le savez, SOS Éducation s’oppose à l’entrisme de l’idéologie transgenre dans les écoles, et agit chaque jour pour protéger les enfants.

Au cours des derniers mois, nous avons :

• Publié une note qui fait référence sur le sujet ;
• Organisé une conférence avec des experts ;
• Mis en ligne une grande pétition que près de 50 000 citoyens ont signée ;
• Initié le lancement d’un colloque international.

Aujourd’hui, nous soutenons la sortie du film choc de Sophie Robert, en langue française, pour lancer l’alerte sur les risques des transitions de genre !

Il est urgent de mobiliser le grand public, les politiques et les médias pour éviter un futur scandale sanitaire.

En Suède, pays précurseur sur les transitions de genre, c’est la sortie du documentaire “The Trans Train” qui a permis de faire stopper les traitements sur des mineurs.

La télévision publique suisse vient d’embrayer le pas avec un documentaire sorti la semaine dernière, “Détransition, ils ont changé de sexe et ils regrettent”, qui a beaucoup fait réagir.

En France, c’est le film de Sophie Robert qui va faire grand bruit et permettre d’éveiller les consciences !

Sophie Robert, ce n’est pas n’importe qui.

Aujourd’hui réalisatrice, elle a d’abord été lanceur d’alerte contre les thérapies invasives faites sur des enfants autistes.

Depuis 3 ans, elle suit le phénomène trans qui cible les enfants, et elle a multiplié les entretiens avec des parents, des associations, des professionnels de santé, des spécialistes…

Elle a déjà produit un premier film, “Mauvais genre, une épidémie mondiale”, que vous pouvez retrouver en suivant ce lien.

Son 2e film, “Mauvais genre – un scandale sanitaire”, est en préparation.

La partie sur les dérives de l’idéologie d’affirmation du genre à l’École, “Transition de genre à l’école : toboggan vers le pire”, est déjà terminée. Vous pouvez la découvrir ci-dessous :

Le reste du film (90 minutes au total) sera prêt très rapidement, si la mobilisation citoyenne permet de porter le projet !

Sophie Robert a besoin de 30 000 euros pour terminer ce 2e documentaire.

SOS Éducation souhaite lui apporter tout son soutien pour rendre possible la production de son film, et invite tous ceux qui le peuvent à participer financièrement à ce grand projet.

Les dons sont défiscalisés via l’association Ninsun Project, présidée par Sophie Robert, qui finance ses films d’intérêt général dédiés au handicap, à la santé mentale et à l’éducation.

Elle peut donc émettre des reçus fiscaux à hauteur de 66 %.

Par exemple, un don de 100 euros vous reviendra à 34 euros seulement après réduction fiscale !

Pour participer au lancement de ce documentaire qui fera date, rendez-vous sur la page HelloAsso du projet.

Un grand merci pour votre engagement.