Chère amie, Cher ami,
Les attaques fusent.
-> Manipulation de l’information,
-> Déformation de propos,
-> Morceaux de phrases prononcés à plusieurs minutes d’intervalle juxtaposés pour ne pas rendre compte de ce qui a été dit,
-> Communication privée diffusée en coupant une partie pour en dénaturer l’intention…
Voilà ce dont nous avons été victimes dans une émission de Complément d’enquête !
Face à nous, une infirmière syndicalisée et engagée politiquement qui refait l’histoire plus d’un an après les faits, et remet en question la parole des enfants.
La résistance est un acte d’abnégation.
Les coups portés sont bas, mais nous gardons le cap.
Notre alerte sur les nouveaux programmes d’éducation à la sexualité, fondée sur l’analyse clinique des enfants et des adolescents, a été transmise au Premier ministre, à la ministre de l’Éducation nationale, au ministre délégué chargé de la Réussite scolaire et de l’Enseignement professionnel et à la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.
Notre travail sérieux, inattaquable sur le fond, dérange.
À court d’arguments, ceux qui ont un intérêt dans la mise en place de tels programmes nous salissent.
Contrairement à eux, chez SOS Éducation nous ne pratiquons pas le pas de vague.
Nous ne sacrifions pas les enfants pour protéger les institutions, les ministres ou les syndicats.
Pour nous, la résistance consiste à défendre l’enfance et à porter une parole juste et sincère sur les risques d’une éducation qui, malgré les bonnes intentions, peut nuire au développement psychoaffectif des enfants.
Face à ces attaques indignes, notre réaction est simple :
- Faire de la pédagogie,
- Expliquer les connaissances de la clinique de l’enfant,
- Soutenir la prévention et l’information.
Et alerter sur les risques de dérives d’enseignements qui, demain, seront dispensés sous l’autorité d’associations militantes et non de professeurs formés.
Le travail mené sur ce sujet depuis 2 ans arrivera bientôt à sa conclusion.
Ce qui signifie qu’il appartient maintenant à ceux qui dirigent, aux parents, aux enseignants, et à tous ceux qui œuvrent auprès d’enfants, de se l’approprier et de choisir leur camp.
Celui de l’enfant ou celui des militants.
Ce positionnement pour l’enfant, son instruction et le respect de son développement psychoaffectif, c’est le chemin que suit SOS Éducation depuis sa création il y a 23 ans.
Un chemin difficile. L’association n’a jamais cédé. Refusant de se soumettre pour assurer sa survie.
Droits dans nos bottes. Coûte que coûte.
Vous l’aurez compris, ce n’est pas pour nous que nous nous inquiétons, mais bien pour les enfants.
Dans quelques semaines, les programmes dits d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle seront approuvés au Conseil supérieur de l’Éducation nationale par la majorité des syndicats d’enseignants.
Des programmes dont l’obligation de mise en œuvre se rapporte à un article de loi dont l’intitulé est pourtant : Éducation à la sexualité.
Depuis presque 2 ans, nous alertons sur ce véhicule législatif de 3 séances, surchargé de programmes qui n’ont rien à y faire et dont les risques d’entrave sur le développement de l’enfant sont avérés par des analyses cliniques de médecins reconnus.
Ceux qui nous attaquent sans argument sur le fond ont souvent un conflit d’intérêt qui est soit idéologique, soit financier, ou bien lié à un agenda politique.
Un collectif d’associations militantes et de syndicats s’est constitué pour assurer les interventions d’EVARS.
Actuellement réalisés dans moins de 25% des classes à partir de la primaire, les futurs programmes seront mis en œuvre dans 100% des classes dès la maternelle. C’est une sacrée manne financière.
Là où ces programmes ne seront pas appliqués, le collectif, lui, sera légitime pour porter plainte contre l’État pour la non mise en œuvre d’un enseignement officiel.
Ces programmes vont acter la titularisation dans l’École d’associations militantes pour dispenser des programmes scolaires, alors que depuis toujours, c’est le devoir du maître et du professeur.
SOS Éducation a la conscience tranquille : avoir fait ce qu’il fallait, à l’époque où cela était encore possible.
Chacun dispose désormais des éléments nécessaires pour se forger un jugement éclairé sur ce sujet.
Suite à la diffusion du Complément d’enquête, je suis intervenue sur CNews, au micro de Sonia Mabrouk dans l’émission Midi News, pour rappeler, une fois encore, pourquoi les nouveaux programmes dits d’EVARS sont dangereux pour les enfants.
Découvrez mon intervention dès maintenant, en cliquant sur l’aperçu ci-dessous :
bonjour ,je suis totalement contre ces cours à l école sur la sexualité de nos enfants .la ministre Mm Genetet doit avoir un problème avec la sexualité c honteux qu’ une mère parle comme elle fait .
Madame Audugé merci d ouvrir les yeux des parents ,si j entends mon petit fils qu’ ont lui impose ces cours je ne l accepterais jamais ni ces parents .pour moi l école c est pour apprendre à lire ,écrire ,compter et le respect de sa personne ,pas pour apprendre ces actes sexuelles .
Pardon je n ai pas fait beaucoup d études donc je fais des fautes ,mais c est mon cœur qui parle contre tout ça .Qu » ils laissent les enfants tranquil point barre .
Cordialement ,une grand mère encolère rien ne va plus en FRANCE .
ce qui est scandaleux c’est de faire croire « qu’ils » amènent une révolution éducative..? alors que l’éducation sexuelle existe depuis la fin des années 70..appuyée sur le travail canadien de l’époque intitulé
« mon corps c’est mon corps »..d’une pédagogie très intéressante…adaptée aux enfants..par la suite dans la période de lutte contre le sida..LES parents et les réflexions de partenaires d’associations de lutte contre le sida, d’éducation , à la santé notamment ,se sont regroupés pour concevoir des programmes de prévention adaptés aux jeunes ados….ce qui est proposé là est inacceptable..se présentant en plus comme un travail de « militants »..militants de quoi..? dans l’éducation nationale ?j’espère que tous les parents vont se positionner et réagir contre un lobby qui n’a aucune légitimité de droit à s’adresser aux enfants…bravo au député PORTIER ..redonne un. peu d’espoir face à cette assemblée nationale chaque jour plus desespérante…merci au DR BERGER et à vous pour votre travail
Bravo pour votre courage, vos arguments pensés et posés, et votre défense coûte que coûte pour le bien des enfants, sans tomber dans aucun des extrêmes caricaturaux de part et d’autre. Ne lâchez rien !
Comme toujours, Madame Audugé, vos paroles sont très justes. Dailleurs, tous les autres intervenants durant l’entretien mené par Sonia Mabrouk vous ont soutenue. Le malheur est que dans ce pays, ainsi que dans d’ autres nations occidentales telles que le Royaume-Uni, la gauche impose depuis des années maintenant son idéologie dite progressiste, qui en réalité est destructrice. Au Ministère de l’éducation, le nouveau ministre délégué a le courage de prendre une position claire et ferme , mais est aussitôt recadré par sa ministre de tutelle qui, par opportunisme, incompétence et négligence, refuse de voir la réalité.
SOS Éducation et les Parents Vigilants doivent continuer le combat en dépit des attaques auxquelles ils ont, auxquelles nous avons à faire face.
Encore une fois, il faut faire sortir des écoles, collèges et lycées tout ce qui n’est pas en lien direct avec l’instruction.
Ce livre a été un bon support pour sensibiliser d’autres personnes de ma famille et de mon entourage aux enjeux actuels. La plupart découvraient et n’étaient pas au courant, leurs enfants n’étant plus ou pas encore scolarisés. Les jeunes adultes se disaient révoltés en découvrant ce qui est proposé dans les programmes scolaires.
Merci pour vos actions et informations
Je suis une mamie outrée que l’éducation nationale n’enseigne plus ce qu’elle doit enseigner, à savoir le français, l’écriture, les maths, l’éducation civique, Merci pour votre combat. Soyez assurée de mon soutien.
Je pense que tout ce qui touche aux sexes comme le genre, drag-king etc et cette intrusion de l’éducation sexuelle porno dans les écoles est une tentative de réseaux gauchistes pour faire accepter à terme la pédophilie comme cela a déja été fait. Voir la liste des signataires d’une pétition antérieure. Les socialistes sont des corrupteurs!
Je suis infirmiére,je suis scandalisée par ces propos concernant la sexualité à l,école et plus encore dans les petites classes,Que l’on s’occupe plutôt à apprendre à nos enfants et même petits enfants à apprendre à lire et à écrire,cela leur sera plus utile que des explications sur la sexualité.Dans qu’el monde vivons nous ?