3e tirage… et relais médias !

Posté par : SOS Éducation - M 2 octobre 2024 6 commentaires

Chère amie, Cher ami,

« L’éducation sexuelle à l’école »…

C’est LE livre qui ne passe pas inaperçu !

Parents, enseignants et professionnels de santé se l’arrachent : en un mois, c’est déjà le 3e tirage…

Depuis la rentrée, Sophie AUDUGÉ est invitée dans les médias presque tous les jours. Pour donner son éclairage sur l’actualité éducative, mais pas seulement !

La semaine dernière, elle a parfois enchaîné plusieurs interventions par jour autour de son livre référence, co-écrit avec Maurice BERGER. Médecin pédopsychiatre internationalement reconnu, il est spécialiste de la violence chez les enfants.

Parmi ces relais médias, Le Club Le Figaro (web TV) fait le tour du sujet, et permet de bien comprendre les enjeux.

Dans cette émission animée par la journaliste Eugénie BASTIÉ, Sophie AUDUGÉ a pu expliquer en détail pourquoi l’éducation à la sexualité n’a pas sa place à l’école. Et réaffirmer une fois encore que la prévention par contre est essentielle. Mais aussi alerter sur les réels dangers pour les enfants, et répondre aux questions des parents légitimement inquiets.

Elle est intervenue aux côtés de 2 sommités du domaine :

  • le gynécologue obstétricien et professeur Israël NISAND,
  • le pédopsychiatre et professeur Maurice BERGER.

Alors que les idéologues s’acharnent à propager de fausses informations, il est salutaire de suivre un débat de qualité. De constater que ceux qui connaissent le sujet, et qui ont pour seul enjeu l’intérêt de l’enfant, sont d’accord sur l’essentiel.

De la prévention, oui. Mais pas “d’éducation à la sexualité”. Surtout pas avant la puberté (12 ans / 13 ans), et au-delà de cet âge il s’agit d’opter pour une “information sur la sexualité”. Les mots ont un sens !

Ces échanges – respectueux – abordent aussi la question de l’idéologie infiltrée au sein même de l’OMS, du faible taux de criminels sexuels condamnés, des lobbies économiques…

… mais aussi de l’évolution de l’usage du porno par les jeunes, des normes sociales, du malaise générationnel chez les jeunes filles…

Vraiment très intéressant à regarder !

Je vous invite à retrouver ce débat riche et éclairant sans attendre, en cliquant sur le lecteur vidéo ci-dessous :

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Et si vous voulez obtenir le livre référence de Sophie AUDUGÉ et Maurice BERGER, agissez maintenant…

Les 2 premiers tirages ont été écoulés en moins d’un mois, et les exemplaires du 3e tirage sont déjà très demandés autant chez les libraires qu’en ligne.

Alors si vous n’avez pas encore confirmé votre commande, c’est le bon moment. Les prochains relais médias risquent de mettre le stock à zéro…

Cliquez simplement sur l’image ci-dessous pour réserver votre exemplaire dès maintenant :

BON PLAN : si vous commandez un exemplaire pour vous et un pour un proche, les frais de port sont gratuits.

Priorité à l’Éducation !

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6 commentaires

  • Thérèse Lucas

    J’ai dévoré ce livre et j’en parle beaucoup autour de moi (j’ai 85 ans). Je constate que peu de gens sont au courant de ces consignes européennes. A offrir à tous les parents (cadeau de Noël ?). Le but n’est-t’il pas d’arriver à terme à dépénaliser la pédophilie ?

  • SORRENTI

    BRULER tous ces livres c’est une abomination
    Laissez grandir nos enfants a leur rythme

  • Patrice de Pontcharra

    J’ai tenté d’en commander 3 en ayant renseigné le numéro de ma carte et sa validité comme les 3 chiffres demandés et je n’ai pas eu de suite sur cette commande…????!!!!

  • Chemit

    Bonsoir,
    Tout d’abord merci pour cet entretien avec le Figaro. J’ai deux enfants de 19 ans (un garçon ) et 13 ans (une fille). J’ai toujours inculqué à mes enfants que leurs corps leur appartenaient et depuis tous petits. Le rôle de parents non déficient est important dans ce débat aussi. Mais je vois l’évolution, entre mon fils et ma fille. Voici ce que ma fille me relate, car j’ai beaucoup de discussions avec elle sur ce fameux programme EVARS. La réponse qu’elle m’a fait est poignant en me disant que les garçons n’ont absolument pas besoin d’éducation à la sexualité au vu des images qu’ils regardent. En tant que mère, je me fais un devoir d’information auprès des autres parents. Mais j’ai appris l’année dernière que ma fille en classe de 4eme cette année, allait devoir mettre un préservatif sur un sexe en polystyrène en classe entière. Ma surprise a été, malgré les discussions que l’on peut avoir à la maison, que mon fils, 6 ans avant, a fait la même chose. Je suis outrée de la non connaissance des parents sur ce type de pratique de l’enseignement nationale (Éducation nationale) car pour moi l’éducation reste à la charge des parents… Je pense sincèrement que mon fils n’a pas osé en parler car nous aurions directement alerté sur ce genre de pratique. Le mal vient d’en haut et les lobbying sont la pour nous le rappeler. Je fais le max pour prévenir les parents autour de moi et cette vidéo est très importante pour la suite. Le “Figaro”, en tout cas la journaliste et son équipe, ont permis d’informer beaucoup de parents qui pensent leurs enfants en lieu sûr à l’école.
    Merci pour votre travail, merci pour votre investissement. Le monde de demain se créera grâce à nos enfants. Apprenons plutôt l’empathie, le respect de soi et le respect de l’autre à nos enfants. Je suis pour la protection et la prévention de nos enfants. Si nous ramenons l’OMS au coeur du sujet, c’est grâce à eux que nos enfants ont été confinés sans prendre de recul sur les dommages collatéraux que cela a entraîné. Nous élevons (de notre côté, nous les préservons et informons) dans un climat de peur sur tous les sujets de société. C’est notre avenir à tous qu’ils détruisent. Ma dernière question est… Est-ce que tout ça n’est pas voulu ?…

    • SOS Éducation - M

      Bonjour, un grand merci pour ce partage de réflexion. En effet, de nombreux parents n’ont aucune idée de ce qui se passe dans les salles de classe. Il est de notre devoir à tous, parents et adultes éclairés, d’en informer le plus grand nombre.