Les loupés de l’éducation sexuelle à l’École dans le JDD

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Posté par : SOS Éducation - M 3 novembre 2023 Aucun commentaire

Chère amie, Cher ami,

Les séances d’éducation à la sexualité à l’École, c’est un sujet qui préoccupe de nombreux parents !

Si l’opinion publique est plutôt favorable à des actions de prévention ciblées et adaptées à l’âge des enfants, il n’en est pas de même pour un « enseignement » présentant des comportements et pratiques sexuels dès la primaire.

Dans son édition du 15 octobre dernier, le JDD a consacré un article fouillé sur les dérives de ces « enseignements », s’appuyant notamment sur les travaux menés par SOS Éducation avec des experts (pédiatres, pédopsychiatres, psychologues, gynécologues) sur les besoins et le développement de l’enfant.

Vous le savez, depuis de nombreux mois, votre Association étudie le sujet et lance l’alerte sur ce qui se passe réellement dans le cadre scolaire.

Les séances d’éducation à la sexualité sont très régulièrement dispensées par des associations militantes qui n’en respectent pas toujours les principes éthiques, ni les règles de mise en œuvre pourtant encadrées par une circulaire.

Le contenu de leurs interventions est souvent idéologique, et inadapté à l’âge des enfants.

Quand les parents préviennent l’établissement et demandent des explications, c’est la stratégie du pas de vague… Le chef d’établissement brandit son impuissance au motif de la sacro-sainte liberté pédagogique, et se défausse de ses responsabilités.

SOS Éducation a déjà adressé plusieurs courriers au ministre de l’Éducation nationale, pour remonter des cas concrets accablants qui se sont déroulés dans plusieurs établissements scolaires.

Mais pour l’instant, personne ne bouge, car le sujet est explosif.

Dans cet article du JDD, vous pourrez lire des témoignages bouleversants de parents dont les enfants sont rentrés de l’école en état de choc.

Comme celui de Valérie, dont le fils a appris « comment se masturber, l’éjaculation, les rapports sexuels par l’anus et le vagin, qu’il pouvait aimer les garçons ou devenir une fille »… en CM1 !!

Ces retours du terrain permettent une vraie prise de conscience sur ce qui se passe réellement dans les écoles…

… Et bien sûr, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car la grande majorité des enfants, sidérés ou gênés, ne parlent pas du contenu de ces « enseignements » avec leurs parents !

Maurice Berger, sommité de la pédopsychiatrie et auteur de nombreux livres sur le sujet, a été consulté par l’auteur de l’article pour apporter son analyse d’expert.

Il explique en quoi ces séances ne respectent pas du tout les différents stades du développement affectif de l’enfant, et représentent un véritable danger pour les jeunes.

Je profite d’ailleurs de cette occasion pour vous annoncer que Maurice Berger fait partie, aux côtés de 5 autres experts de l’enfance, du comité d’experts mis en place par votre Association sur le sujet de l’éducation à la sexualité.

Nous réalisons actuellement un travail très important, qui aboutira à une note de synthèse et à des recommandations sur ce sujet sensible !

Pour découvrir l’article particulièrement éclairant du JDD, cliquez simplement ici ou sur l’aperçu ci-dessous :

Et vous, en tant que parent, grand-parent, personnel éducatif… Aviez-vous pris la mesure des graves dangers que ces séances d’éducation à la sexualité peuvent faire peser sur le développement relationnel et affectif des enfants ?

N’hésitez pas à me faire part de votre expérience en commentant simplement au bas de cet article !

Priorité à l’éducation !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : Agissez avec nous pour protéger les enfants !

L’éducation à la sexualité consomme du temps scolaire, au détriment d’autres apprentissages, ce qui n’est pas acceptable quand un élève sur deux entre en 6e sans savoir lire

Mais surtout, elle est réalisée par des personnes qui n’ont pas la formation nécessaire pour assurer la mission de prévention et le cas échéant accueillir la parole d’un enfant victime.

La mise en abîme du système de santé scolaire : absence de médecins, d’infirmières, de psychologues… fait que cet « enseignement », réalisé sans cadre et sans espace de dialogue sous la direction de professionnels de la santé, constitue une mise en risque pour l’enfant.

Actuellement, l’éducation à la sexualité diffuse l’idéologie du genre comme un savoir en la présentant comme une théorie, ce qu’elle n’est pas.

Diffuser des idéologies n’est pas le rôle de l’École, dont la mission est d’instruire des connaissances approuvées par la science.

Vous partagez avec nous la vision d’une École qui instruit et qui protège les enfants ?

Pour agir avec nous, le plus efficace, c’est de faire un don à SOS Éducation !

C’est grâce aux dons de citoyens engagés que l’Association peut exister et agir dans l’intérêt supérieur de tous les enfants.

Si vous le pouvez, préférez le don mensuel, pour nous soutenir dans la durée.

Les enfants ont besoin de vous.

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