Chère amie, Cher ami,
Le jeudi 13 janvier, lors d’une interview dans la presse, puis à la radio, j’ai été conviée à partager notre analyse du mouvement de grève.
Attendue le jour-même, cette grève s’annonçait largement suivie par les enseignants et l’encadrement.
L’occasion de parler de la situation actuelle à l’école et notamment sanitaire, et plus globalement de l’état de notre École.
J’ai pu revenir sur :
- Les motifs sous jacents qui expliquent la popularité de ce mouvement de grève dans les rangs de l’Éducation nationale mais aussi auprès du grand public ;
- Les protocoles sanitaires kafkaïens dans les écoles depuis la rentrée de janvier 2022 et l’incompréhension générale ;
- La nécessité de revenir à une situation sereine où l’intérêt supérieur des enfants est la priorité.
Au fil des questions et des échanges j’ai pu également évoquer quelques éléments de bilan de l’action de Jean-Michel Blanquer depuis bientôt 5 ans, et notamment :
- La fracture entre le ministre et l’ensemble de la communauté éducative ;
- La méthode du « en même temps » qui ne fonctionne pas ;
- Les injonctions contradictoires et dangereuses pour les enfants du ministre de l’Éducation nationale, lorsqu’il rejette l’écriture dite inclusive d’une main et de l’autre ouvre la porte à l’idéologie d’affirmation du genre ressenti à l’École. Idéologie qui ne pratique que l’écriture « inclusive » et édicte en norme un nouveau langage fait de « dégenrage » [1] et de « mégenrage ».
Vous pouvez retrouver mon intervention dans La matinale de Clémence Houdiakova, sur Radio Courtoisie, ci-dessous :