Il y a 200 ans naissait Charles Baudelaire.
Cet anniversaire résonne d’une manière particulière aujourd’hui, au moment où nous nous battons contre l’instrumentalisation de la langue française à des fins idéologiques.
L’absurdité de la chose s’exprime de manière plus probante par l’exemple.
Alors nous dédions ce qui suit à tous ceux qui aiment la langue française, sa musicalité, sa sonorité, sa fluidité…
À tous ceux qui ont aimé, et aiment encore, découvrir, lire et relire, réciter les plus belles œuvres de notre patrimoine culturel, qui ont fait le rayonnement de la France dans le monde entier.
Voici la magnifique métaphore du poète écrite par Charles Baudelaire, convertie en écriture « inclusive ».
La version lue est à découvrir pour vous rendre compte de l’étendue du désastre si nous laissons se diffuser l’écriture dite « inclusive »…
Pourquoi un francais résidant en Allemagne ne peut pas indiquer son code postal- D 58511- mais indiquer un code postal d’un parent ou ami en France?
Bonjour, c’est corrigé, il est maintenant possible d’entrer un code postal à l’étranger. Merci beaucoup de nous avoir signalé ce souci !
C’est une stupidité de croire que le genre grammatical renvoie à un genre sexuel .
Le penser révèle une INCULTURE linguistique crasse . L’étude des langues mortes, de la philologie (origine et évolution de la langue française), la comparaison des langues latines sur ce sujet montrent la vérité de ce que j’avance .
Même les Québécois ont commis cette erreur monumentale . Je ne parle pas du journal Le Monde, toujours prêt à cautionner la dernière manie pourvu qu’elle fasse progressiste.
Ne croyez-vous pas que l’on a autre chose à faire que de perdre son temps avec ces fadaises ridicules,
tout ça pour faire plaisir à une minorité. La langue Française connue, lue et appréciée dans le monde
entier est une langue magnifique qui ne mérite pas qu’on la rénove de cette façon et elle est assez
difficile. Cette sorte d’écriture est inutile et bonne pour les sots ( et je ne le met pas au féminin car je
respecte énormément les dames qui m’entourent et qui m’ont entouré)