Les arguments #31 à #40 contre l’écriture « inclusive » !

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Posté par : SOS Éducation - J 19 août 2021 5 commentaires

Chère amie, Cher ami,

Nos arguments contre l’écriture « inclusive » continuent à se diffuser…

… Un grand merci à vous pour votre participation active !

Vous êtes nombreux parmi nos abonnés à transférer nos e-mails à vos proches, et à partager nos arguments sur les réseaux sociaux.

Aujourd’hui, nous vous proposons les arguments 31 à 40 contre l’écriture « inclusive ».

À noter : si vous avez manqué les séries précédentes d’arguments, vous pouvez les retrouver sur notre site Internet :

Les arguments #31 à #40 contre l'écriture inclusive

Priorité à l’éducation !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

PS : Retrouvez notre pétition NON à l’écriture « inclusive ! » en suivant ce lien. Si vous ne l’avez pas encore signée, il n’est pas trop tard : chaque signature compte pour donner du poids à l’action !

PPS : C’est grâce aux dons de généreux donateurs que nous pouvons mener nos combats pour améliorer le système éducatif et protéger la langue française.

Pour conserver une parole parfaitement libre, l’Association ne touche aucune subvention publique. Votre soutien financier nous permet de continuer notre action indépendante pour l’Éducation.

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5 commentaires

  • Robert Pillon

    La présentation est absurde : du texte en images impossibles à récupérer pour les relire tranquillement, et aucune prise en compte des personnes qui comme moi ont une faible connexion : plus de 5 minutes pour charger 31à 40… J’ai capitulé

    Cordialement,

  • Ghislaine RIVATON

    Bonjour SOS Éducation,
    Qui pour le coup porte bien son nom, face au danger mortel pour notre langue de cette satanée écriture inclusive dont le ridicule et la difficulté d’appliquer une telle idiotie dépassent l’imagination.
    J’ai failli écrire ânerie, mais je me rends compte que ce serait insulter ce brave et charmant animal.
    Va-t-il falloir corriger Voltaire, La Fontaine, Molière, Flaubert, Hugo, Balzac, Dumas, Maupassant, Proust, Peyramaure, Gallo, Houellebeck, Werber ? Et bien d’autres ?
    Qui nous délivrera de ce mal ? Je ne vois que le bon sens.
    Ghislaine RIVATON, Nelle Calédonie

  • BOUTRY

    Ridicule : vouloir l’écriture inclusive ce n’est qu’offrir à ces dames un strapontin … pas un siège confortable en les nommant en toutes lettres : sont-elles conscientes de cette contradiction ?

  • Bénédict HUMBEL

    Dans la liste de tous les défauts de cette lubbie orthographique, ne peut-on pas placer les meilleurs arguments (4, 13, 16, 22, 25, 33, 35, 36, 38 etc …), qui sont factuels, avant ceux faisant référence aux implications sociétales ou idéologiques : pour ces derniers, il y aura toujours contestation de la part de celles ou ceux qui poussent à la généralisation de cette fausse évolution des mentalités.
    Par ailleurs, les effets indésirables – sur les logiciels se saisie ou de traitement de texte – des points placés à l’intérieur d’une phrase et non à sa fin demanderaient davantage d’analyse. J’ai pris personnellement l’habitude de me servir des parenthèses (mais est-ce accepté par l’Académie ??), ce qui permet de pratiquer une “inclusivité” qui me semble éviter la majorité des arguments développés à propos de l’insertion des points à l’intérieur des mots : juste un pis-aller ?

  • Vicky THILVERT

    Ce n’est pas en attaquant notre belle langue à l’écrit que l’on peut défendre les femmes. Les féministes se trompent de combat et sont devenues des extrémistes. Je suis une femme et je n’ai jamais été choquée par les règles de grammaire concernant l’emploi du masculin au pluriel. Il y a une grande différence entre le genre utilisé par notre langue et notre genre en tant qu’être humain. Il faut absolument sauver notre langue littéraire et orale qui nous a été confiée par des auteurs comme Ronsard, Corneille, Víctor Hugo, Lamartine etc. Vivons en respectant notre “liberté, égalité, fraternité” et profitons entièrement de notre histoire et de notre héritage merveilleux qu’est notre langue française