Nos enfants ne sont pas des vaches à lait !

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Posté par : SOS Éducation - M 15 février 2023 Un commentaire

Chère amie, Cher ami,

« Les enfants peuvent changer de genre à l’école
sans l’accord de leurs parents »
 

C’est le titre d’un nouvel entretien sur le sujet de l’idéologie transgenre, que j’ai pu donner pour le journal The Epoch Times fin janvier.

En parallèle de nos actions auprès des parlementaires et de notre recours au Conseil d’État pour annulation de la circulaire Blanquer, nous continuons à informer le grand public sur les risques pour les enfants d’une transition trop rapide.

Les médias nous sollicitent régulièrement en tant qu’experts sur cette thématique.

Merci aux journalistes Ludovic Genin et David Vives d’avoir publié notre entretien en intégralité, afin de sensibiliser largement les parents, et alerter sur l’endoctrinement de nos enfants à l’idéologie du genre dans les écoles !

Nous portons votre voix à la radio, dans les journaux, sur les plateaux de télévision… mais aussi auprès des parlementaires.

Nous devons être présents sur tous les fronts pour faire bouger les lignes et remettre l’intérêt supérieur des enfants comme priorité absolue.

Nous diffusons les résultats de nos travaux à plus de 500 journalistes. Nous sommes ravis que des médias courageux s’emparent des sujets importants !

C’est le cas du journal indépendant The Epoch Times, soucieux de diffuser une information objective sur la transidentité à l’École, et les risques de la transition sociale pour les enfants sous emprise de cette idéologie.

Au cours de cet entretien, j’ai pu évoquer :

  • L’entrisme de la question transgenre dans les programmes scolaires
  • Les impacts à long terme sur les enfants
  • L’absence d’étude probante sur la transition de genre des mineurs
  • Le phénomène d’influence pour un changement de genre
  • Les travaux de SOS Éducation pour alerter et protéger les enfants

Découvrez sans plus tarder l’article complet en cliquant ici ou sur l’aperçu ci-dessous :

Comme toujours, vos retours sont les bienvenus : après avoir lu l’article, n’hésitez pas à nous dire ce que vous en avez pensé !

Vous voulez agir avec nous ?

SOS Éducation souhaite organiser un colloque international avec des experts reconnus.

L’objectif de ce colloque sera de démontrer, preuves à l’appui, que l’affirmation du genre ressenti quel que soit l’âge, sans une approche holistique, n’est pas dans l’intérêt des enfants… et n’a donc pas sa place à l’école !

C’est le seul moyen efficace pour faire reculer le gouvernement.

Malheureusement, et comme vous le savez, SOS Éducation n’a pas les moyens financiers pour lancer cet événement.

Nous avons besoin de 60 000 euros pour organiser ce colloque qui fera date.

Cela peut paraître important, mais c’est une goutte d’eau par rapport au budget des associations qui viennent diffuser des idéologies dans les écoles de nos enfants.

SOS Éducation n’a jamais touché un centime d’euro de fonds publics.

Ce n’est pas le cas des associations LGBTQIA+ agréées par l’Éducation nationale et financées par le gouvernement, par la DILCRAH, par les fonds européens, par des structures privées, par des subventions municipales… !

Soyons clairs, nous sommes le pot de terre contre le pot de fer.

Nous sommes indépendants, et nous menons toutes nos actions pour défendre l’intérêt supérieur de l’enfant, sans aucun argent public.

Notre parole est libre, et c’est avant tout la vôtre.

Si comme nous, vous jugez que le combat contre l’idéologie transgenre à l’École en vaut la peine, et qu’il est urgent de protéger les enfants de cet endoctrinement qui conduit les plus fragiles à mettre leur santé en danger, participez à ce grand projet !

Grâce à votre soutien, nous pourrons :

  • Être les organisateurs de cet évènement de A à Z
  • Louer une salle permettant d’accueillir plusieurs milliers de personnes
  • Faire venir des intervenants experts du monde entier pour informer sur les risques d’un discours idéologique sur le genre, et sur les dangers d’une transition sur la santé physique et psychique de nos enfants
  • Construire un plan de communication le plus large possible pour alerter tous les médias
  • Organiser une conférence de presse pour annoncer l’événement

Nous pourrons aussi :

  • Convier les parlementaires à assister à l’événement
  • Financer le matériel nécessaire à la captation vidéo de l’événement
  • Produire et diffuser les actes du colloque
  • Organiser des réunions d’information avec les parlementaires, pour agir maintenant !
  • Mobiliser des centaines de milliers de citoyens pour agir avec nous…

… Avec un tel événement, nous pourrons montrer aux élus qu’ils ont fait fausse route sur le sujet de la transidentité à l’École, et pousser le gouvernement à faire marche arrière !

Nous devons faire du bruit, et un colloque international… Ça fait du bruit !

Si un millier de citoyens contribuent à hauteur de 40, 60, 100, 200 euros… Ce colloque unique en son « genre » pourra voir le jour.

Si vous souhaitez faire partie des bienfaiteurs qui auront permis à ce colloque international de se tenir en France pour protéger nos enfants et dire NON à un futur scandale sanitaire, soutenez-nous dès maintenant en suivant ce lien !

Priorité à l’éducation !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : Si ce n’est pas déjà fait, signez, relayez, partagez notre grande pétition pour dire NON à l’idéologie transgenre à l’école !

Nous sommes déjà plus de 47 000 signataires, déterminés à agir pour protéger les enfants.

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Un commentaire

  • Laure

    Le changement de genre est, selon moi, une opération très douloureuse et très dangereuse. Le résultat de cette opération est l’amputation d’un organe que l’on remplace par un autre organe qui ne permettra jamais à la personne opérée de procréer et qui, au pire des cas, il me semble, risque de rendre l’acte sexuel difficile, douloureux. Dans le cas où les enfants recevraient une information sur la transsexualité, ils doivent avant tout être informés sur les dangers de l’opération et doivent absolument en être protégés. Et doivent aussi être protégés aussi toute leur vie et sous toutes les formes, ceux qui, malheureusement pour eux, auront été opérés. Informer les enfants sur la transsexualité n’aurait une utilité que si cette information servait à protéger les enfants et non à créer un doute sur leur façon de jouer et d’imaginer leur avenir.