NON à l'idéologie transgenre à l'école ! Mobilisation maximale…

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Posté par : SOS Éducation - M 4 août 2022 Aucun commentaire

Chère amie, Cher ami,

Notre pétition NON à l’idéologie transgenre à l’école est maintenant sur le site de mobilisation grand public Mes Opinions !

C’est une nouvelle étape importante pour lui donner un maximum de visibilité.

Donnez du poids à cette action : signez vite la pétition sur le site Mes Opinions !

SOS Éducation est la seule association indépendante en France qui ne touche aucune subvention publique dont l’OBJET SOCIAL est d’améliorer le système éducatif et de veiller à ce que l’intérêt supérieur de l’enfant soit au centre de chaque décision de politique éducative.

Ces trois dernières années, cela n’a pas été le cas.

La circulaire Blanquer, qui institutionnalise l’affirmation du genre ressenti des enfants dès leur plus jeune âge dans l’École, en est le triste symbole.

L’École n’est plus ce sanctuaire que nous avons connu, où protégés du malheur et des bruits du monde, nous étions tous occupés à apprendre et à nous lier d’amitié.

Il ne s’agit pas de pleurer une époque révolue, c’est l’argument trop facile de nos détracteurs, mais la situation dramatique de l’École française aujourd’hui nécessite une mobilisation historique.

Dans bon nombre d’écoles, l’esprit n’est plus à l’instruction ni à l’amitié fraternelle.

Niveau scolaire qui s’effondre, violence endémique, bienveillance trompeuse, professeurs qui jettent l’éponge, crise des vocations, uberisation des recrutements pour mettre « quelqu’un devant les élèves à la rentrée », taux d’état dépressif chez les enfants qui atteint des records historiques (et concerne des enfants de plus en plus jeunes).

Nos enfants, qui sont l’avenir du pays, valent mieux que ça.

Face à ce désastre, au ministère de l’Éducation nationale, on s’agite, on fait des réformettes qui détruisent toujours plus, on recule sur les fondements de la laïcité, et on ouvre grand les portes à toutes les idéologies.

L’affirmation du genre ressenti à l’École est la dernière en date.

Elle est entrée dans un premier temps par l’intervention d’associations ultra subventionnées, sans contrôle des propos qu’elles tenaient et des documents qu’elles distribuaient dans les écoles, ni de leurs activités et de leurs éventuels conflits d’intérêts.

Et depuis septembre 2021, la circulaire Blanquer a donné à ces associations un siège d’honneur, en institutionnalisant la prise en compte du genre ressenti par l’enfant dès les premières classes, sans avis médical, sans informer les parents sauf dans le cas d’une demande de l’enfant de changement de son prénom.

Depuis septembre 2021, SOS Éducation a mené un travail d’analyse important sur les connaissances actuelles de la transition pédiatrique, c’est-à-dire le parcours de changement de genre chez les enfants.

La synthèse de notre analyse alimentée par les travaux internationaux, notamment issus des pays qui font marche arrière, montre que la prise en charge hâtive par des bloqueurs de puberté ou des hormones de l’autre sexe, sans s’intéresser à l’enfant, son état psychique et émotionnel et sans lui laisser le temps de grandir, n’est pas dans son intérêt.

Signez vite la pétition sur le site Mes Opinions !

SOS Éducation poursuit son action pour sensibiliser le plus grand nombre possible de personnes sur les dangers de l’activisme transaffirmatif sur les jeunes.

Notre note d’analyse très complète sur le sujet, et la conférence avec des experts que nous avons organisée l’expliquent de manière objective et neutre (vous pouvez retrouver les liens vers ces contenus exclusifs au bas de cet article).

Il ne s’agit pas de nier l’existence documentée, concernant un nombre infime de personnes, de la dysphorie de genre, ce sentiment profond et durable d’incongruence entre le sexe de naissance et le sexe psychique.

Il s’agit de protéger l’enfant des phénomènes d’influence et de mode actuels qui lui font croire que le changement de genre règlera tous ses doutes et ses états d’âme.

Notre action pour informer et mobiliser n’est pas passée inaperçue : de nombreux médias l’ont déjà relayée (Le Figaro, Sud Radio, CNews…), et je continue à intervenir régulièrement au nom de SOS Éducation.

Le dernier relais média en date, c’est sur Radio Courtoisie le 12 juillet, suite à l’appel de 140 scientifiques et intellectuels, qui ont publié dans la presse européenne un manifeste réclamant une information impartiale à l’attention des jeunes sur le « changement de genre ».

Je dénonce dans cette intervention les effets désastreux de l’idéologie du genre, qui a infiltré les écoles :

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Et tout récemment, pour aller encore plus loin, nous avons déposé une requête en annulation de la circulaire Blanquer au Conseil d’État.

C’est une démarche très importante pour protéger les enfants face à la déferlante transaffirmative, qui ne se soucie guère de l’intérêt supérieur de l’enfant.

Nous vous tiendrons bien évidemment informé des suites de cette action !

Mais surtout, communiquez largement sur cette pétition autour de vous : il est indispensable que nous atteignions le million de signatures avec cette pétition grand public.

Si chacun d’entre vous mobilise ses contacts et qu’une chaîne d’information se met en place, c’est possible.

Je vous invite vraiment à revoir notre visioconférence, à relire notre note d’analyse, et à lire ou relire l’avis de l’Académie de médecine (retrouvez-les au bas de cet article).

L’idéologie d’affirmation du genre consiste à transformer des enfants sains, mais en questionnement sur eux-mêmes à un moment d’immaturité émotionnelle, en enfants (puis adolescents, puis adultes) sous médicaments.

Et c’est pour la vie, avec des conséquences irréversibles sur leur santé physique et psychique.

L’enfance est sacrée, se tromper permet d’avancer, l’erreur est pédagogique.

Mais la prise de bloqueurs de puberté, d’hormones du sexe opposé, l’ablation de ses seins, ce n’est pas une erreur qui apprend, c’est une erreur qui ne se répare pas, c’est une automutilation dont on ne se remet pas.

Il est urgent de laisser le temps de vivre à nos enfants.

Adultes ils feront leurs choix, en pleine conscience, accompagnés par des professionnels dont c’est le métier, et entourés de l’amour de leur famille et de leurs amis.

C’est aux adultes de protéger les enfants, d’eux-mêmes, parfois contre eux-mêmes, mais toujours pour eux-mêmes.

Ensemble, agissons ! Laissons les enfants grandir.

L’intérêt supérieur de l’enfant d’abord, toujours !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : Pensez à signer la pétition NON à l’idéologie transgenre à l’école sur le site Mes Opinions : cliquez ici pour accéder à la pétition.

P.P.S. : Retrouvez nos 2 ressources incontournables sur les dangers d’une idéologie transaffirmative dans l’École, et pensez à les diffuser autour de vous :

  1. Une analyse approfondie sur la menace qui pèse sur les enfants.
    Aperçu note de synthèse

    Vous ne trouverez pas d’autre document aussi complet, qui rassemble autant de sources internationales, de témoignages de scientifiques, de points de vue des professionnels de santé et de personnes ayant transitionné, de publications qui dénoncent l’influence des lobbies…
  2. La vidéoconférence “Pourquoi la circulaire transgenre de Jean-Michel Blanquer représente un danger”
    Aperçu vidéo conférence circulaire Blanquer

    Avec Anne-Laure Boch, neurochirurgien des hôpitaux de Paris, docteur en philosophie de la médecine, membre du collectif L’Observatoire de la petite sirène, et Aude Mirkovic, maître de conférence en droit privé, directrice juridique et porte-parole de Juristes pour l’Enfance.

Retrouvez aussi l’avis de l’Académie nationale de Médecine, qui prône, comme SOS Éducation, la mesure et la vigilance.

Elle demande qu’un accompagnement psychologique soit mis en place le plus longtemps possible pour les mineurs.

Vous pouvez accéder au communiqué de l’Académie de médecine en suivant ce lien. En voici 2 extraits très significatifs :

« L’Académie nationale de médecine recommande […] un accompagnement psychologique aussi long que possible des enfants et adolescents exprimant un désir de transition et de leurs parents »

« L’Académie nationale de médecine recommande […] la vigilance des parents face aux questions de leurs enfants sur la transidentité ou leur mal-être, en soulignant le caractère addictif de la consultation excessive des réseaux sociaux qui est, à la fois, néfaste au développement psychologique des jeunes et responsable d’une part très importante de la croissance du sentiment d’incongruence de genre. »

Aperçu communiqué Académie de médecine

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