Éducation à la sexualité en CM2 : Cnews s’est emparé du sujet !

Posté par : SOS Éducation - M 11 avril 2023 4 commentaires

Chère amie, Cher ami,

Notre action a fait mouche !

Notre lettre au ministre de l’Éducation nationale sur les dérives de l’éducation à la sexualité a été vue par des centaines de milliers de personnes sur les réseaux sociaux…

… Et des émissions à forte audience sur Cnews ont relayé notre alerte à Pap Ndiaye !

Mathieu Bock-Côté, scandalisé par cette affaire, y a consacré son éditorial dans l’émission Soir Info du 05 avril sur Cnews – découvrez son intervention ci dessous :

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Et le lendemain matin, dans L’heure des pros, l’émission de Pascal Praud, Marie-Estelle Dupont a exprimé sa position de psychologue clinicienne sur ces graves dérives.

Elle est intervenue en qualité d’ambassadrice de l’Union pour la protection des enfants, dont les Mamans louves et SOS Éducation sont deux des membres fondateurs.

Retrouvez son intervention :

Vous pouvez aussi voir la vidéo directement sur Youtube en cliquant sur ce lien.

Conséquence directe de notre action, le recteur d’académie s’est rendu dans l’établissement.

Nous suivons l’évolution de ce dossier avec une grande attention, car il est à craindre que l’établissement préfère rechercher les parents « délateurs » plutôt que de prendre ses responsabilités et se soucier vraiment des conséquences sur les enfants.

Nous devons absolument poursuivre notre action pour protéger les parents et les professeurs courageux qui ne se résignent pas à la désintruction nationale et à l’endoctrinement par une partie des syndicats et de l’institution.

Nous sommes stupéfaits que ceux qui dénoncent soient victimes de pressions et d’actions d’intimidation de la part de l’institution scolaire, qui n’a manifestement qu’un objectif : celui du « pas de vague ».

Ensemble, nous pouvons changer les choses.

Priorité à l’éducation !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : SOS Éducation agit, infaillible, à chaque fois qu’il faut protéger les enfants et rappeler le rôle du système éducatif.

L’éducation à la sexualité n’a pas sa place en primaire.

Mais prendre position sur ce sujet est tabou, et en réalité, la loi du silence règne.

Pourtant, nous devons mener cette action essentielle, et si ce n’est pas SOS Éducation qui s’en charge, qui le fera ?

Nous allons engager un travail de fond comme nous le faisons sur chaque dossier brûlant touchant à l’Éducation.

Nous allons produire une note d’analyse rappelant les besoins de l’enfant et la position des experts de la protection de l’enfant, afin de fournir le cadre à respecter dans l’intérêt de l’enfant.

L’École ne peut pas être une passoire de toutes les idéologies et des luttes sociales. Elle doit redevenir un sanctuaire.

L’enfant est une personne en construction mais pas un adulte en miniature. Il a des besoins propres, en première place desquels : apprendre !

Malheureusement les lobbies et les politiques utilisent les élèves tels des enfants-soldats, porte-drapeaux de leurs idéologies les plus douteuses.

Pour mener ce nouveau projet, nous faisons appel à la générosité de citoyens comme vous, engagés pour améliorer le système éducatif et protéger les enfants.

Si vous le pouvez, aidez votre Association à poursuivre sa mission, contre les obstacles posés par ceux qui veulent faire taire SOS Éducation et mener tranquillement leur funeste processus d’endoctrinement.

L’École et les enfants ont besoin de vous !

education sexualite ecole

Chère amie, Cher ami,

À la suite des graves dérives lors d’une intervention d’éducation à la sexualité en CM2, SOS Éducation et l’association les mamans louves tapent du poing sur la table !

SOS Éducation a écrit au ministre Pap Ndiaye : une lettre sans filtre que je vous invite à découvrir ci-dessous…

Nous devons aller plus loin, ensemble, pour que des mesures d’urgence soient prises pour protéger les enfants.

Dans les prochains jours, je vous proposerai de participer à notre consultation nationale sur l’éducation à la sexualité à l’École : surveillez vos e-mails !

Le sujet n’est pas nouveau, mais l’obsession de Pap Ndiaye d’en faire une priorité inquiète. Surtout lorsque l’Éducation nationale donne son blanc-seing à des associations idéologiques, comme le planning familial, qui dévoient l’objectif annoncé de protection de l’enfant et de l’enfance.

Rappelons que récemment le planning familial a publié un lexique «trans», c’est-à-dire le nouveau vocabulaire à utiliser pour «respecter toute la fluidité des genres».

Dans ce lexique, le planning familial édite par exemple une liste des termes «à ne pas utiliser», parmi lesquels «mâle»; «femelle»; «masculin»; «féminin» !!

Toujours dans ce lexique :

  • Le «sexe» est défini comme «Construit social basé sur des observations moyennes des différences biologiques entre les genres. Il est communément admis scientifiquement que le sexe est un spectre. Peut également désigner l’appareil génital.» Je précise que la mise en forme italique de la dernière phrase est celle du lexique.
  • Et le «genre» comme «Classe sociale construite culturellement. En occident, cela admet deux catégories, dont une dominée : les femmes ; et une dominante : les hommes. Genre est également utilisé en raccourci pour désigner l’identité de genre

De graves dérives sur l’éducation à la sexualité… en CM2 !

Au-delà de la question des associations idéologiques qui assurent les séquences d’éducation à la sexualité avec des contenus qui n’ont rien à voir avec l’objectif de protection des enfants, d’autres dérives sont observées.

Notamment celle qui s’est produite fin janvier et que SOS Éducation et les mamans louves dénoncent dans le courrier adressé au ministre de l’Éducation nationale.

Avant de vous dévoiler les propos invraisemblables rapportés par des enfants de 9-10 ans, il faut savoir que les intervenants revendiquent d’adopter une modalité d’éducation à la sexualité appliquée aux Pays-Bas, qu’ils jugent «progressiste», et qui consiste à parler de sexualité aux enfants dès 3 ans.

Méthode et théorie qui ne font pas consensus évidemment, et qui sont fortement critiquées par nombre de pédopsychiatres au motif qu’elles constituent une effraction dans l’imaginaire, le psyché et l’innocence de l’enfant.

Voilà donc ce qui s’est produit le 31 janvier dernier.

Une infirmière de l’Éducation nationale réalise sa 4ème séance avec la classe de CM2 de l’établissement.

Séance d’éducation à la sexualité jugée «classique» qui consiste à tirer au sort les mots posés anonymement par les élèves dans une boîte, où l’intervenant les attrape et les explique un à un…

Ce que l’infirmière a fait.

Oubliant manifestement qu’elle s’adressait à des enfants de 9-10 ans et ne se posant pas de questions sur le contenu de certains papiers, émanant pourtant d’enfants si jeunes !

Face aux explications apportées par l’infirmière, les élèves sont sidérés, certains sont en état de choc à tel point qu’ils rapportent à la maison les propos tenus par l’infirmière…

Attention ! Ces propos rapportés par les enfants peuvent choquer…

Les voici :

  • « Pour le plaisir une fille suce le pénis du garçon »
  • « Le garçon suce le vagin de la fille et peut avaler quelque chose »
  • « Pour le plaisir la fille peut caresser délicatement les testicules du garçon »
  • « On peut faire le sexe dans les fesses »
  • « Dites aux parents de vous vacciner contre le papillon »
  • « On peut changer de sexe… prendre des médicaments pour bloquer la barbe et les poils »

Les jeunes élèves ont manifesté leur désarroi explicitement durant et après l’intervention : pleurs, mains sur les oreilles, refus de revenir en classe, refus de retourner en séance d’éducation à la sexualité, dégoût…

Ces propos absolument inappropriés à l’âge des enfants ont beaucoup fait réagir, et malheureusement, ce qui s’est produit dans cette école n’est pas un cas isolé.

Mais surtout, certains parents n’osent pas réagir de peur de représailles sur la scolarité de leur enfant. Il en est de même pour les équipes éducatives.

C’est clairement la loi du silence qui domine, voilà ce qui est scandaleux !

Comment l’institution scolaire, ses représentants et les parents ont-ils pu à ce point se détacher de l’essentiel : l’intérêt supérieur de l’enfant, et non celui de l’institution et du qu’en dira-t-on ?!

L’infirmière a été immédiatement soutenue par son syndicat, qui a pris sa défense considérant qu’elle était expérimentée et n’avait fait que «répondre aux questions des enfants». Le syndicat défend la méthode évoquée plus haut et l’infirmière.

Entre les lignes, il s’agit de laisser entendre que le problème n’est pas l’intervention ni l’intervenant, mais l’éducation des enfants qui ont écrit les mots à expliquer et les ont placés dans la boîte. Ben voyons !

Sauf que… tous les enfants n’étaient pas auteurs de ces mots. Certains n’avaient rien demandé et ont reçu ces détails sexuels comme une effraction dans leur psychique immature d’enfant.

Pour les autres, les auteurs, l’infirmière aurait dû s’inquiéter que si jeunes, ils aient des questionnements de cette nature. S’agit-il d’enfants maltraités, abusés, consommateurs de contenus pornographiques… ?

Rappelons qu’ils ont entre 9 et 10 ans !

L’infirmière aurait dû chercher comment les aider et non pas faire croire :

  • que de telles interrogations à leur âge étaient « normales »,
  • qu’il fallait absolument y répondre
  • que les réponses étaient opportunes pour toute la classe !

L’infirmière aurait dû mettre de côté ces « petits mots » qui n’avaient pas à être détaillés et limiter son intervention au cadre strict prévu par la circulaire, à savoir : « l’éducation à la sexualité doit se faire sans dimension sexuelle stricto sensu à l’école élémentaire ».

Pour de nombreux parents qui confient leurs enfants à l’École de la République, c’est la stupéfaction.

Jamais ils n’auraient pu penser que «l’éducation à la sexualité» relevait d’un tel lavage de cerveau et d’un manque total de considération des besoins et du développement émotionnel de l’enfant.

C’est pourquoi nous avons décidé de prendre ce sujet à bras le corps et d’écrire une lettre au Ministre de l’Éducation nationale.

L’éducation à la sexualité, priorité de Pap Ndiaye

Le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye, a fait de l’éducation à la sexualité SA priorité pour l’École française, et cela pose évidemment de nombreuses questions quant au rôle qu’il fixe pour l’École.

Nous n’avons pas manqué de lui rappeler que le niveau des élèves est en chute libre, et que la violence en milieu scolaire explose…

Malgré l’effondrement de notre système éducatif et la perte des vocations des professeurs venus pour instruire, Pap Ndiaye a choisi comme action prioritaire de son ministère l’Éducation à la sexualité dès l’école primaire, en tant qu’«enseignement» prioritaire et obligatoire.

Dès les premières lignes de notre courrier, nous précisons au Ministre que nous ne sommes pas d’accord sur ce point ! L’éducation à la sexualité n’est pas une priorité et elle n’est pas non plus un enseignement.

Sur la mise en œuvre, cette effraction de contenus sexuels dans l’imaginaire des enfants engage le ministre : il est responsable des conséquences des dérives éventuelles. Comme ce fut le cas lors de cette séance !

Notre lettre, dont une copie a été adressée au chef d’établissement dans lequel les faits se sont déroulés et une autre au recteur de l’académie concernée, va droit au but.

Pap Ndiaye doit mettre fin aux dérives immédiatement !

SOS Éducation a donc agi en parfaite conscience pour protéger les enfants des dérives actuelles et rappeler le ministre à ses responsabilités.

Dans notre lettre, nous demandons à Pap Ndiaye d’agir en urgence à 2 niveaux :

  1. Au niveau de l’établissement, pour faire la lumière sur l’affaire et rattraper ce qui peut encore l’être
  2. Au niveau national, pour encadrer strictement ces interventions qui ne doivent avoir aucun autre objectif que celui, louable, de protéger les enfants de sévices sexuels !

Mais surtout, nous avons exprimé avec fermeté à Pap Ndiaye que ces interventions ne relèvent pas d’un «enseignement» mais d’une information, d’une sensibilisation tout au plus, relevant de la santé publique et non de l’Éducation.

En conséquence, aucune liberté pédagogique ne doit être laissée à l’intervenant dans ce domaine.

Un cadre rigoureux, établi par des professionnels de la psychologie de l’enfant et de son développement, doit être suivi par des personnes solidement formées et agrémentées pour diffuser ces contenus.

Avec l’objectif également de repérer les enfants en situations particulières dans ce domaine (suspicion de sévices, connaissance trop étendue du sujet par rapport à l’âge dévoilant une consommation volontaire ou accidentelle de contenus pornographiques), pour les aider.

J’ai enjoint fermement le ministre à prendre les mesures qui s’imposent !

En premier lieu, faire respecter le cadre qu’il a lui-même fixé et qui n’est absolument pas respecté dans cette affaire. Symptôme d’un «enseignement» hors de contrôle aux conséquences graves pour les enfants.

Depuis, nous avons reçu d’autres témoignages édifiants qui nous alertent sur des situations semblables dans d’autres établissements en France.

Nous porterons aussi leur voix sur ce sujet important !

Accédez sans plus attendre à la lettre que nous avons adressée à Pap Ndiaye, et lorsque vous en aurez pris connaissance, n’hésitez pas à nous faire part de votre avis.

Et très prochainement, nous lancerons une grande consultation nationale sur la question de l’éducation à la sexualité : je ne manquerai pas de vous l’envoyer dès sa publication !

Priorité à l’éducation !

signature sophie auduge

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

P.S. : SOS Éducation agit, infaillible, à chaque fois qu’il faut protéger les enfants et rappeler le rôle du système éducatif.

L’éducation à la sexualité n’a pas sa place en primaire.

Mais prendre position sur ce sujet est tabou, et en réalité, la loi du silence règne.

Pourtant, nous devons mener cette action essentielle, et si ce n’est pas SOS Éducation qui s’en charge, qui le fera ?

Nous allons engager un travail de fond comme nous le faisons sur chaque dossier brûlant touchant à l’Éducation.

Nous allons produire une note d’analyse rappelant les besoins de l’enfant et la position des experts de la protection de l’enfant, afin de fournir le cadre à respecter dans l’intérêt de l’enfant.

L’École ne peut pas être une passoire de toutes les idéologies et des luttes sociales. Elle doit redevenir un sanctuaire.

L’enfant est une personne en construction mais pas un adulte en miniature. Il a des besoins propres, en première place desquels : apprendre !

Malheureusement les lobbies et les politiques utilisent les élèves tels des enfants-soldats, porte-drapeaux de leurs idéologies les plus douteuses.

Pour mener ce nouveau projet, nous faisons appel à la générosité de citoyens comme vous, engagés pour améliorer le système éducatif et protéger les enfants.

Si vous le pouvez, aidez votre Association à poursuivre sa mission, contre les obstacles posés par ceux qui veulent faire taire SOS Éducation et mener tranquillement leur funeste processus d’endoctrinement.

L’École et les enfants ont besoin de vous !

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4 commentaires

  • Cirade

    Complètement d’accord avec SOS EDUCATION. Cette information doit être encadrée, faite avec un contenu strict de l’éducation Nationale (Biologie avant tout). Elle doit être adaptée à l’âge des enfants. Elle peut être une alerte pour l’enseignant quand les questions des enfants montrent qu’ils ont des connaissances démontrant un environnement pornographique. (Films, vidéos,sévices sexuels , etc).
    Interdiction de faire entrer dans l’école ou collège, le militantisme des associations qui viennent pour le prosélytisme : LGBTQIIT+, planning familial, PIR,….

  • Abassi

    Bonjour
    Y a t’il cette année un cours d’éducation sexuelle prévu dans le programme de l’éducation nationale en 6 ème et en Cm2, Cm1 ?
    En vous remerciant par avance
    Asmae

  • Luthringer

    Bonjour, je suis maman d’une fille de 10 ans qui a eu droit a des cours d’éducation sexuelle en janvier dans sa classe. J’ai trouvé cela très inapproprié pour des enfants de cet âge là. Après en avoir échangé avec d’autres parents, je me suis rendu compte que beaucoup ont été outré par ces cours très explicite sur les relations sexuelles.
    Je trouve ça inadmissible… Personnellement ma fille est assez perturbée depuis ces cours et se pose beaucoup de question qui du coup ne sont pas de son âge.
    J’espère que l’éducation nationale va revoir son programme sur ce sujet mais en attendant pour les enfants de CM2 de l’année 2024 je ne sais pas trop comment ils vont pouvoir les aider à être moins perturbé a se sujet…