Chère amie, Cher ami,
SOS Éducation se bat depuis presque 2 ans pour protéger les enfants de la déferlante transidentitaire.
Cette idéologie du genre ressenti fait croire aux enfants qu’ils peuvent déterminer s’ils sont des filles ou des garçons, indépendamment de leur sexe biologique, et sans conséquences sur leur santé physique et psychique.
La réalité est tout autre !
Pour une majorité d’enfants, se questionner sur son identité est une étape assez classique de l’adolescence, qui peut s’accompagner d’une souffrance plus ou moins profonde, mais qui ne signifie pas pour autant qu’ils sont nés dans le mauvais corps.
L’institutionnalisation de cette idéologie dans l’École pose problème. Et engage l’État !
En prenant fait et cause pour une idéologie, les pouvoirs publics rompent avec leur devoir de neutralité et bafouent les droits de l’enfant, qui devraient pourtant guider chaque décision.
L’idéologie du genre ressenti et du droit à autodéterminer son genre et son sexe à n’importe quel âge est de plus en plus diffusée auprès des enfants.
Via des « cours » souvent donnés par des associations militantes, mais aussi dans des manuels scolaires officiels ou par des affiches placardées dans les établissements, et émanant directement du ministère de l’Éducation nationale.
SOS Éducation a mené un travail de fond pour décrypter ce qui relève de la protection des enfants réellement dysphoriques, qui sont une minorité…
… Du prosélytisme actuel, qui touche des élèves vulnérables et influençables.
On explique aux enfants, au sein même des écoles, que leur sentiment de ne pas correspondre aux stéréotypes imposés par les médias et la publicité peut être le signe que leur sexe de naissance n’est pas le bon, qu’il y a une erreur.
Et que cette erreur se répare en changeant de genre : ainsi le sentiment désagréable de ne pas être comme toutes les filles ou comme les autres garçons disparaîtra comme par miracle !
Évidemment, dans ces présentations, il n’est jamais précisé qu’il faut prendre des hormones, réaliser des chirurgies invasives, en somme devenir un patient dépendant de médicaments coûteux toute sa vie.
Une manne pour l’industrie pharmaceutique et de chirurgie…
… Mais surtout un drame pour les enfants embarqués malgré eux dans cette euphorie trans, qui masque potentiellement des troubles psychologiques réels qui ne seront pas pris en charge.
Pour stopper cette ineptie et pour que l’Éducation nationale respecte son devoir de neutralité, votre Association a lancé une pétition, que vous êtes nombreux à avoir signée. Elle a déjà rassemblé 52 941 signataires !
Nous avons présenté nos travaux à diverses occasions, notamment auprès des parlementaires.
Nous avons aussi :
- Travaillé avec les meilleurs experts,
- Déposé un recours contre la circulaire Blanquer au Conseil d’Etat,
- Organisé des visioconférences,
- Rédigé des tribunes,
- Donné des interviews,
- Été invités à des émissions…
Vous pouvez retrouver l’ensemble de mes interventions dans les médias sur ce sujet très important en cliquant ici.
Ce travail rigoureux, documenté et exigeant se poursuit.
Et nous sommes heureux de vous annoncer qu’il prend une nouvelle dimension !
Le groupe Les Républicains (LR), majoritaire au Sénat, a décidé d’engager un groupe de travail sur ce sujet.
Avec des auditions et la publication d’un rapport détaillé, cette démarche permettra une prise en compte au niveau législatif.
Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, en première ligne sur ce combat, a tenu à vous écrire.
Il souhaite vous féliciter pour l’action déterminante menée par SOS Éducation.
Il a tenu à saluer personnellement le travail que nous avons mené ensemble pour protéger les enfants, et vous dire qu’il vous a entendus !
Certains y verront sans doute une manœuvre politique.
Sachez, et je ne cesse de le répéter, que les travaux et publications de SOS Éducation sont en accès libre et gratuit pour tous.
Ils sont transmis aux médias et aux parlementaires de tout l’échiquier politique. Nous contactons aussi en direct les parlementaires des commissions concernées par les sujets qui nous préoccupent : éducation, santé, et protection des enfants.
Seul le groupe LR du Sénat a répondu présent et a sollicité plusieurs interventions avec l’appui d’experts, avant de confirmer son engagement.
Rendons à César ce qui est à César !
Je cède la parole à Bruno Retailleau, qui a souhaité vous parler directement.
Il est temps !
Merci pour vos actions courageuses, ne lâchez surtout pas !
Je constate que plusieurs sites dénoncent les mêmes dérives de nos gouvernants:
Guillame Gattermann, CitizenGo, IREP, LSDJ, La Manif pour tous et d’autres comme certains journaux.
Ne serait-il pas possible de prendre contact avec eux et faire une action commune ?