Retrouvez l’entretien dans son intégralité au bas de ce message
J’ai pu intervenir en compagnie de Maddy, fondatrice de L’Être Trans, pour parler de ce que vivent réellement les personnes en transition de genre.
Et croyez-moi, ce n’est pas du tout le même récit que les associations idéologiques tiennent dans les classes, quand elles interviennent pour convertir les élèves au changement de genre.
Votre association alerte depuis maintenant 2 ans sur la diffusion de l’idéologie du genre dans les écoles dès la maternelle, et les risques d’une information biaisée qui héroïse la transition de genre auprès des enfants.
Maquillages qui font rêver les enfants, robes à paillettes, chaussures de princesse… La présentation de la transidentité faite aux enfants est une supercherie, rien n’est réel. C’est Disneyland en terre trans.
Mais voilà, votre association a mené un travail rigoureux, une immersion de plusieurs mois pour comprendre, dans le respect et l’écoute, le réel de personnes transsexuelles, leur enfance, leur adolescence, leur vécu transidentitaire et la décision, une fois adulte, d’engager une transition et de se faire opérer.
Ces personnes transsexuelles, au parcours de vie difficile, refusent le transactivisme qui cible les enfants, et le combattent avec nous.
Grâce à nos échanges, nous avons pu comprendre le réel d’une transition, les médicaments, les opérations, les douleurs, les maladies, les risques et les déceptions.
Face aux mensonges actuels qui font croire aux enfants et aux adolescents que changer de genre est une libération, que changer de sexe est possible, avec seulement du positif et aucune contrainte, que la dysphorie disparait, et que c’est le bonheur assuré, il fallait dire la vérité.
Cette vérité n’apparaît nulle part. Jamais l’envers du décor n’est présenté. Ni aux familles, ni aux enfants embarqués dans cette euphorie trans.
Mais voilà, depuis 2 ans, je discute avec Maddy. Je connais son histoire de vie, son parcours, ses doutes, ses tristesses et ses combats.
Maddy a créé un groupe de personnes transsexuelles qui s’opposent catégoriquement à la diffusion de l’idéologie du genre et à l’endoctrinement des enfants.
Pour Maddy, la dysphorie de genre est une psychopathologie.
Une incongruence intimement ressentie entre le sexe de naissance et le sexe psychique. C’est une douleur persistante. Ce n’est pas un choix. Ce n’est pas un ressenti. C’est un mal-être.
L’adolescence peut permettre de passer le cap, et finalement c’est seulement adulte, après avoir eu ses premières expériences sexuelles, que la personne sait vraiment si vivre avec ce sexe détesté est possible ou non.
Pour Maddy, la décision difficile a été prise autour de 35 ans. Il y a plus de 10 ans maintenant. Jamais elle n’aurait imaginé que des activistes censés représenter et défendre la cause pour le respect des transsexuels s’attaqueraient aux enfants.
Aujourd’hui, notre combat est aussi le sien. Maddy a accepté de réagir dans un article que j’ai rédigé pour le magazine Causeur. Maddy a accepté de dire le réel d’être trans, sans fard.
Dans cet article rédigé pour Causeur, j’ai pu revenir sur :
- La terreur que les militants transsexuels font régner dans notre société sur des universitaires, sur des élèves, sur le sens des mots ;
- L’acharnement et le lynchage en place publique invraisemblable dont a été victime le gynécologue Victor Acharian, qui s’est déclaré incompétent pour aider un homme sous traitement féminisant ;
- La réalité d’être trans, avec le témoignage de Maddy.
Un grand merci à Causeur : il est très rare de donner la parole à une personne trans pour dévoiler le réel.
Évidemment, si la réalité était présentée aux familles et aux enfants, il y aurait moins de candidats, et donc moins de victimes de cet activisme trans machiavélique, qui est un bras armé du wokisme…
Un immense merci à Maddy pour son courage, sa sincérité et son engagement à la cause de la protection des enfants !
Découvrez l’article complet ci-dessous, et pensez à me donner votre avis après l’avoir lu.
Bravo !!!! Tout à fait d’accord