SOS Éducation et son comité d’experts constitué de médecins, pédiatres, pédopsychiatres, psychologues cliniciens et chercheurs en psychologie du développement vous invitent à agir aujourd’hui pour protéger les enfants !
SOS Éducation et son comité d’experts constitué de médecins, pédiatres, pédopsychiatres, psychologues cliniciens et chercheurs en psychologie du développement vous invitent à agir aujourd’hui pour protéger les enfants !
OUI à la prévention
Madame Anne Genetet,
Ministre de l’Éducation nationale
Monsieur Michel Barnier,
Premier ministre
À L’ÉCOLE, ENSEIGNEZ-MOI LES DIVISIONS, PAS L’ÉJACULATION !
JE SUIS UNE ENFANT :
À 6 ans, lisez-moi des histoires d’amitié, pas de transidentité,
À 7 ans, apprenez-moi les synonymes, pas les parties intimes,
À 8 ans, expliquez-moi toutes les émotions, pas l’érection,
À 9 ans, parlez-moi des bienfaits de l’alimentation, pas de la masturbation,
À 10 ans, enseignez-moi les divisions, pas l’éjaculation.
JE SUIS UNE ENFANT. LAISSEZ-MOI GRANDIR !
⚠️ IMPORTANT :
Si vous signez en tant que médecin ou professionnel de santé, nous vous invitons à préciser votre spécialité lorsque vous remplissez le formulaire de pétition !
Vous ferez partie de la liste officielle des professionnels spécialistes de l’enfance qui soutiennent cette action.
Parler de sexualité trop tôt à un enfant, c’est prendre le risque :
Contrairement aux idées reçues, parler de sexualité aux enfants dans le cadre scolaire ne les protège pas de l’inceste ou d’abus sexuels. Notamment parce que l’agresseur agit souvent par un comportement séducteur qui n’est pas contré par l’éducation à la sexualité. Les mesures efficaces pour lutter contre ces crimes relèvent de la formation des enseignants, de la protection de l’enfance, et de la Justice.
En effet, selon une étude de l’association Mémoire et traumatologie, le fait d’avoir parlé n’a entraîné aucune conséquence : seules 8 % des petites victimes d’inceste et d’abus sexuels ont été protégées ; l’agresseur n’est éloigné de la victime que dans 6 % des cas.
De plus, selon le rapport de la Ciivise, 3% seulement des viols et agressions sexuelles commis chaque année sur des enfants font l’objet d’une condamnation des agresseurs. Et seulement 1% dans les cas d’inceste.
L’éducation à la sexualité n’a pas sa place à l’École, car c’est contraire à l’intérêt des enfants qui n’ont pas atteint la maturité suffisante pour aborder la sexualité des adultes.
L’École doit s’en tenir à son rôle d’instruction des fondamentaux et ne pas imposer aux enfants d’entrer dans le registre de la sexualité alors que leur développement physiologique, cognitif et affectif n’en est absolument pas à ce stade.
Que l’École apprenne déjà à chaque enfant à lire, à écrire, à compter, à réfléchir, à respecter l’autorité, et à accepter le fait que les autres peuvent penser autrement et être différents de lui.
Parents, enseignants, équipes éducatives, personnels de santé, médecins, pédiatres, psychologues, pédopsychiatres…
Ensemble, faisons primer l’intérêt supérieur des enfants.
Après avoir signé, faites du bruit ! Partagez le plus largement possible cette pétition sur les réseaux sociaux : il est crucial que nous soyons le plus grand nombre à protéger les enfants de cette folie !
Alors qu’elle devrait se consacrer à instruire les enfants dans un cadre apaisé, propice aux apprentissages, l’Éducation nationale s’entête à faire de l’éducation à la sexualité sa priorité éducative et son cheval de bataille « émancipateur ».
Cette obsession s’exerce contre l’intérêt supérieur des enfants, dans le dos des parents et sans que l’institution scolaire ait les compétences nécessaires ou le personnel formé.
Conséquences : l’École fait courir un risque aux enfants en matière de santé physique et psychique.
Pourquoi ?
Confronter les enfants à un réel sexuel semblable aux activités sexuelles des adultes, dans l’enceinte d’une institution d’enseignement ayant autorité sur eux, caractérise une atmosphère incestuelle institutionnelle.
C’est pourtant ce que prône l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans ses tristement célèbres Standards pour l’éducation sexuelle en Europe.
Voici un extrait de l’information à transmettre à l’enfant de 0 à 4 ans :
D’après l’OMS « le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce, la découverte de son propre corps et de ses parties génitales, le fait que le plaisir lié au contact physique est un aspect normal de la vie de chacun, la tendresse et le contact physique comme une expression de l’amour et de l’affection »
Et aussi « devenir conscient de son identité sexuelle, parler des sensations (dés)agréables dans son propre corps, exprimer ses propres besoins, désirs et limites, par exemple en jouant au docteur ».
Pour des enfants de 0 à 4 ans !
Le programme proposé actuellement en France est dans la lignée de ce prosélytisme.
Sur quels éléments de preuves l’OMS et l’ensemble des institutions qui gravitent autour ont-elles bien pu s’appuyer pour affirmer qu’il serait dans l’intérêt des élèves de recevoir une éducation à la sexualité « positive » et « dégenrée » dès 5 ans ?
Nous avons consulté de nombreux professeurs de médecine et de psychologie, spécialistes de l’enfance, et ils sont opposés à une éducation à la sexualité par l’École avant l’âge de la puberté.
Quels sont les arguments objectifs de l’Éducation nationale pour affirmer qu’il faut absolument enseigner à des enfants de moins de 12 ans les bienfaits d’une sexualité épanouie sur leur santé, comme on leur dit de manger 5 fruits et légumes par jour et de se laver régulièrement les dents ?!
Il n’y en a aucun.
Mais voyons ! Les enfants de primaire n’ont pas atteint les stades du développement physiologique, cognitif et affectif nécessaire à une sexualité effective. Cela revient à leur parler d’une chose qu’ils ne peuvent pas éprouver donc qui ne peut être que perturbante ou traumatique !
Aucun argument scientifique, du point de vue du développement de l’enfant et de ses besoins pour grandir, n’apporte la preuve qu’il est utile et protecteur de l’initier à la sexualité adulte.
Il en est de même pour le consentement, tenu comme le flambeau de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. À moins de 12 ans, qui peut croire à la capacité de consentir alors qu’on est un enfant. À cet âge, il s’agit de consolider dans l’esprit des enfants les interdits anthropologiques de la frontière (sexuelle) entre les générations.
Ceux qui doivent être responsabilisés, ce sont les adultes. Ils doivent être capables de repérer les victimes d’abus et de faire ce qu’il faut pour les protéger. Si tant d’enfants sont victimes de crimes sexuels c’est parce qu’une omerta existe, et que rien n’est fait pour la lever.
Les vies brisées d’enfants et d’adolescents sexualisés bien trop tôt en sont la triste démonstration. Les récits des petites victimes devenues grandes nous rappellent avec force que c’est aux adultes de préserver et protéger l’enfance.
Rien dans le développement de l’enfant n’autorise à penser qu’il est dans son intérêt d’étudier dans le détail des organes génitaux qui seront les siens quand il sera grand, ou les activités sexuelles pratiquées par les adultes qu’il ne manquera pas de projeter sur ses parents.
Bien au contraire… Les spécialistes de l’enfance ne cessent de crier leur désarroi face à cette absurdité.
Le mode d’apprentissage des enfants de 5 à 12 ans se fait majoritairement par imitation-expérimentation, de telle sorte qu’informer à cet âge, c’est initier. L’enfant importera à la maison ce qu’il a vu en classe, et cherchera à expérimenter avec des camarades de l’école ou avec ses frères et sœurs à la maison.
En vérité...
… un contenu à caractère sexuel, même dispensé avec de bonnes intentions, provoque chez certains enfants une effraction psychique potentiellement grave puisque les signes cliniques possibles sont similaires à ceux de troubles post-traumatiques.
A minima, cette intrusion psychique dans l’intime de l’enfant bouleverse son développement cognitif et entrave son processus de construction identitaire. Elle le détourne des pulsions de connaissances qui le mobilisent à cet âge de l’enfance.
En transmettant par idéologie des contenus à caractère sexuel inadaptés à l’âge des élèves, l’institution scolaire influence les représentations des enfants et les sexualise, se souciant peu des conséquences sur leur développement affectif, cognitif et sexuel futur.
Par ce réel sexuel adulte imposé à l’enfant, qui n’est ni en mesure d’accueillir ces informations ni en capacité d’élaborer ce qui lui est transmis, l’institution lui vole une part de son enfance, le privant d’un cheminement personnel qu’il doit vivre à son rythme et dans son intimité.
L’École doit nécessairement s’inscrire dans la réalité du sexe biologique et dans l’anthropologie de l’espèce humaine. Elle doit aider chaque enfant à exprimer ses capacités relationnelles et à accepter que les autres peuvent penser autrement et être différents de lui.
L’École n’a pas vocation à modifier les représentations des enfants à propos de leur identité sexuée, ni à les initier à la sexualité adulte.
Pour l’instant, l’éducation à la sexualité, aussi appelée éducation à la vie relationnelle et affective, rendue obligatoire à l’école dès la maternelle, n’est pas sérieusement encadrée ni contrôlée, ce qui a des conséquences désastreuses sur les enfants.
Il est urgent d’y mettre fin, pour éviter que d’autres dérives et des drames se produisent !
L’éducation à la sexualité au collège n’est pas plus adaptée aux adolescents dès lors qu’elle ne respecte pas son rôle de pare-excitation.
L’éducation à la sexualité fait partie intégrante de ce qu’on appelle l’éducation à la vie, mais aucun programme scolaire ne saurait l’envisager en totalité, ni remplacer le rôle éducatif des parents.
L’Éducation nationale n’a pas à orienter les perceptions et les choix des jeunes en leur présentant sa vision normative et institutionnelle d’une sexualité dégenrée, positive, citoyenne et inclusive.
L’éducation à la sexualité doit donner aux adolescents la possibilité d’être acteurs de leurs décisions et de leurs choix, tout en leur permettant de mieux comprendre les normes et les valeurs transmises par leur famille.
Si l’éducation à la sexualité a une utilité pour la jeunesse, c’est celle de permettre aux adolescents de prendre conscience de la pression sociale et des normes sexuelles qui pèsent sur eux. Comme tout système d’influence, elles constituent des entraves à vivre et à penser librement.
Aider les adolescents à comprendre
ce qui se produit en eux
Les aider à prendre du recul, leur montrer le chemin vers cette maturation sexuelle qui n’est pas « un domaine de performances individuelles et normées », mais un cheminement personnel de recherche de soi et d’altérité.
Malheureusement ce n’est pas ce qui est fait dans les séances d’éducation à la sexualité qui s’avèrent en réalité être un système d’influence de plus, institutionnel celui-là, qui entrave la liberté de conscience et la liberté d’expression de jeunes en pleine construction identitaire.
Pour aller plus loin sur ce sujet important pour la protection des enfants et des adolescents, consultez le rapport complet publié sur le site de SOS Éducation : « Éducation à la sexualité à l’École : de la prévention à la sexualisation précoce – Risques et bonnes pratiques »
200 pages pour connaître et comprendre le développement des enfants et des adolescents, et répondre à la question : l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire, dans l’intérêt de qui ?
Découvrez le rapport complet
en cliquant sur l'image ci-dessous :
Elodie M. Il y a 1 minute Elisabeth M. Il y a 4 minutes Sandra W. Il y a 2 heures Laurent J. Il y a 3 heures Jeferson B. Il y a 2 heures
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