« Changer d’identité ou de sexe, dès la primaire, c’est au programme à l’École de la République »
À ce titre, Karl Zéro a souhaité s’entretenir avec SOS Éducation pour en savoir plus.
L’association ne cesse de dénoncer depuis 2 ans l’institutionnalisation de l’idéologie d’autodétermination du genre ressenti au sein des écoles françaises.
La Suède, la Finlande et le Royaume-Uni, pays précurseurs dans le domaine de la transidentité, font en ce moment même marche arrière…
… Pendant que la France adopte la théorie du genre ressenti, et lui fait une place de premier choix à l’École notamment via la circulaire (Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire) de l’ancien ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer !
Au cours de notre entretien, j’ai pu expliquer à Karl Zéro :
- L’offensive transactiviste,
- Pourquoi les jeunes,
- Pourquoi dans les écoles,
Et répondre à ses questions sans détour, percutantes et toujours pertinentes.
Nous mettons les pieds dans le plat en dénonçant une stratégie de lobbying bien huilée, qui connaît son heure de gloire en France, avec un nombre croissant de victimes : nos enfants.
Je remercie très sincèrement Karl Zéro pour cet échange, mais aussi sa passion et sa détermination à défendre la cause des enfants.
Cet entretien exclusif est paru dans le numéro 7 du magazine trimestriel d’enquête et de décryptage « L’Envers des affaires », décembre 2022 – février 2023, déjà disponible dans les kiosques.
De manière absolument exceptionnelle, pour marquer leur soutien à l’action de SOS Éducation, Karl Zéro et les éditions Télémaque ont souhaité vous donner accès à l’intégralité de cet entretien.
Découvrez-le en suivant ce lien ou en cliquant sur l’aperçu ci-dessous :
La question du « genre « n’aurait jamais du se poser. Nous naissons garçons ou filles et la naissance d’un bébé aux caractéristiques sexuelles floues peut hélas arriver et nécessite un cariotype pour savoir si ce bébé est XX ou XY ou s’il existe une aberration chromosomique…..On ne peut pas refuser ce qui « est »…et le plus sage est de se conformer à la nature. Si anomalie, il y a , ce n’est pas de nier celle-ci qui rendra l’enfant heureux mais plutôt de l’aimer tel qu’il est….Ce qu’il faut espérer c’est de pouvoir un jour aider ces enfants « différents » à vivre comme le commun des mortels sans prosélytisme et sans regret ….